Le tombeau est le port où nous arrivons tous après une navigation plus ou moins orageuse.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
La Parentèle (1981) VOStFR DVDRiP x264
Origine : Russie
Acteurs : Nikita Mikhalkov, Nonna Mordyukova, Svetlana Krioutchkova, Andrei Petrov, Youri Bogatyrev
Genre : Comédie dramatique
Durée : 1h 40min
Année de production : 1981
Titre original : Rodnia
Critiques Spectateurs : 3.3
Plus d'information sur allocine : http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=906.html
http://fenetressurcour.blogspot.com/
Maria, campagnarde énergique, décide de se rendre a la ville pour intervenir dans la vie de sa fille qui la scandalise par sa façon de vivre.
Qualité : DVDRIP
Format : Mpeg-4
Langue : Russe
Sous-titre : Français
Codec vidéo : MP4 à 1630kbps
Codec audio : AC3 à 128kbps
Nombre de fichiers : 1
Nom de la release : La Parentèle.1981.VOSTFR.DVDRIP.H264
Taille totale : 1.14Go
La Dernière Vague (1977) Multi 1080p HDLight x264
Origine : Australie
Réalisateur : Peter Weir
Acteurs : Richard Chamberlain, Olivia Hamnett, David Gulpilil
Durée : 1h50min
Genre : Mystère/Thriller
Année : 1977
En quelques jours, l'Australie est frappée par plusieurs phénomènes atmosphériques étranges.
Le jeune avocat David Burton doit assurer la défense de cinq aborigènes accusés du meurtre de l'un
des leurs. Très vite, il acquiert la conviction qu'il s'agit non seulement d'un crime rituel, mais
aussi que ce crime a un lien avec les perturbations climatiques que connaît le pays...
1Fichier
La.Derniere.Vague.(1977).VFF.ENG.1080p.MULTi.AAC.2.0.(RHT).mkv (2.0 GB)
Langues : Français + Anglais
Sous-Titres : Français + Anglais
Petit atlas des plantes comestibles : 60 Plantes sauvages à cuisiner - Vincent Albouy
Portier De Nuit [1974] VF HDLight 1080p x264 AC3
Production : 1974
Réalisé par : Liliana Cavani
Avec : Dirk Bogarde, Charlotte Rampling, Philippe Leroy, Gabriele Ferzetti
Genre : Drame
Durée : 1h 58min
Nationalité : U.S.A., Italie
Date de sortie Cinéma : 3 avril 1974
Maximilian est portier de nuit dans un hôtel hébergeant des anciens nazis. Lucia accompagnant son mari, chef d'orchestre, loge dans cet hôtel. Maximilian reconnaît en elle une ancienne déportée qui était sa maîtresse. Lucia se trouve attirée par son ancien bourreau et redevient la maîtresse de Maximilian. Mais ils sont traqués par d'anciens nazis qui tentent de faire oublier leur passé.
Hébergeur : Uptobox
Qualité : 1080p HDLight
Format : x264
Langue : Fr AC3
Nombre et taille des fichiers : 1 X 2900 Mo
Total du post : 2.9 GB
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Charlotte Rampling
Sous le nom de langues orientales, on doit comprendre tous les idiomes de l'Asie, depuis l'arabe et le turc, parlés sur les côtes méditerranéennes, jusqu’au chinois et au japonais qui touchent au Grand Océan. On y peut joindre le groupe des idiomes océaniens, dont le malais est le type le plus répandu .Grâce à l'humeur voyageuse de l'Européen, poussé par la curiosité scientifique ou par les besoins du commerce, il n'est peut-être pas une de ces langues, jusqu'au dialecte le plus ignoré du massif altaïque, qui n'ait glissé quelque mot dans nos vocabulaires. Un dictionnaire vraiment complet de tous les termes français d'origine orientale devrait donc toucher, par quelque point, à la presque totalité des langages qui se rencontrent à l'est de l'Europe, depuis le 25e. méridien jusqu'au 180e, c'est-à-dire sur près de la moitié de la surface terrestre.
Moi, Moi, Moi Et Les Autres (1966) VF/VO+StFR Structure DVD
Année : 1966
Pays : Italie
Genre : Comédie dramatique
Réalisé par : Alessandro Blasetti
Avec : Gina Lollobrigida, Silvana Mangano, Vittorio De Sica, Nino Manfredi, Marcello Mastroianni, Sylva Koscina
http://www.imdb.com/title/tt0059318/?ref_=nv_sr_2
Sandro (Walter Chiari) est journaliste à Rome. Il mène une enquête sur l'égoïsme de ses concitoyens, aidé en cela par son ami Peppino (Marcello Mastroianni). Il côtoie divers personnages de la ville : une diva (Silvana Mangano), un politicien véreux (Vittorio Caprioli)...
Analyse et critique
Moi, moi, moi et les autres est l’avant-dernier film d’Alessandro Blasetti, véritable vétéran du cinéma italien qui aura traversé l’ère des « téléphones blancs », contribué à la naissance du néoréalisme avec Quatre pas dans les nuages (1942) et de la comédie italienne sur Dommage que tu sois une canaille (1954). Moi, moi, moi et les autres est pour lui une œuvre très personnelle dans laquelle il s’applique à dénoncer l’égoïsme ordinaire à travers le personnage du journaliste Sandro (Walter Chiari). Sandro constitue en effet le double filmique de Blasetti dans le ton du film, qui se partage entre regard ironique et amusé sur ce thème de l’égoïsme et une dimension plus intime où le réalisateur alimente sa trame de nombreux éléments de sa vie.
On sent donc une démarche proche du Federico Fellini de Huit et demi (1963) mais malheureusement Blasetti n’en aura pas tout à fait la maestria visuelle et narrative dans sa tentative. Si la multiplicité des scénaristes est une tradition le plus souvent positive de la comédie italienne, elle atteint ici un excès - onze scénaristes pour des participations plus ou moins importantes,
dont les prestigieux Suso Cecchi D'Amico ou le duo Age / Scarpelli - qui témoigne de la volonté de Blasetti de brasser à tout va et de brouiller les pistes sur la facette autobiographique de son récit. Ce sera le principal problème de Moi, moi, moi et les autres, qui hésite constamment entre le film à sketches thématiques très en vogue à l’époque - Les Complexés (1965) par exemple, pour en prendre une autre production explorant une tare humaine ordinaire - et donc la rêverie fellinienne. Le début du film très sautillant, où Sandro observe avec plein d’ironie la vilenie ordinaire de ses congénères, dresse plusieurs pastilles très amusantes que l’on pense voir creusées plus avant dans un sketch à part entière mais il n’en sera rien. C’est un même survol superficiel qui aura cours en suivant le fil conducteur très lâche autour de Sandro, où là aussi les situations arrachent quelques sourires - le quotidien conjugal avec son épouse jouée par une délicieuse Gina Lollobrigida - mais n’exploitent pas pleinement le sujet. De saynètes expédiées en personnages secondaires truculents mais trop en surface (hormis Marcello Mastroianni en meilleur ami lunaire et Silvana Mangano, le casting prestigieux n’a pas grand-chose à défendre), c’est donc l’ennui progressif qui domine faute d’ancrage comique ou intime consistant.
Alessandro Blasetti effleure pourtant par moment ce que Moi, moi, moi et les autres aurait pu être. Tout au long du film, Sandro critique certes les travers de ses concitoyens mais rappelle constamment qu’il ne vaut guère mieux - on y devine l’autodérision de Blasetti déjà manifeste dans Bellissima de Luchino Visconti (1951), satire sur l’univers de Cinecittà dans laquelle il jouait son propre rôle, et ici avec ce générique où son nom se démultiplie et écrase celui des autres. Si cette facette ne fonctionne guère dans le registre comique à la construction trop succincte, dès que les situations se font plus incertaines, méditatives et prennent surtout le temps de s’installer, l’introspection peut enfin agir. On pense à cette scène où Peppino (Marcello Mastroianni) emmène Sandro en forêt
un couple de vieillards traverser les bois main dans la main. Sandro, tout à ses préoccupations personnelles, ne retient que la laideur et la pauvreté du couple tandis que Peppino, plus sensible, y décèle un amour intact à l’automne de la vie. Ce n’est que dans la dernière partie que sera ravivée cette vision car ramenée aux propres regrets de Sandro. Cet égoïsme lui aura fait fuir le vrai amour de sa vie via une Silvana Mangano bouleversante.
On dépasse enfin la vignette pour laisser la mélancolie s’installer, l’égoïsme n’en restant plus à son désagrément trivial mais pouvant bouleverser une existence. Toutefois, il ne faudrait pas complètement rejeter la dimension comique du film même si elle est très inégale. La scène où Sandro lors de l’enterrement de son ami s’interroge plus sur la graduation de sa tristesse (pleurer ou ne pas pleurer, là est la question) que sur le disparu est hilarante et aboutit à une réaction si théâtrale qu’elle émeut toute l’assistance dans une savoureuse ironie. Walter Chiari, acteur doué quand il s’agit de jouer les types ordinaires - le très beau Il Giovedi de Dino Risi - manque à la fois du génie comique et de l’intensité dramatique de la dream team de la comédie italienne (Vittorio Gassman, Nino Manfredi, Marcello Mastroianni, Alberto Sordi, Ugo Tognazzi) et peine à porter réellement le film sur ses épaules. Celui-ci n'est pas inintéressant donc, mais reste très inégal même si sa singularité sera récompensée - le David di Donatello du meilleur réalisateur en 1966, une nomination au Ruban d'argent du réalisateur du meilleur film et au Ruban d'argent du meilleur sujet en 1967 - parallèlement à un échec public qui signe un peu la fin de carrière de Blasetti.
Durée : 95 min
Format d'image : 1.66:1
Couleur : Noir et blanc
Langue : Français, Italien
Sous-Titres : Français
Taille : 4.2 GB
https://uptobox.com/19erj05ih9yj/
Une exclusivité signée : Kevin
Sylvana Mangano
Le Secret De Rita Hayworth - Stéphanie Des Horts. epub
Auteur : Stephanie Des Horts
Label : Albin Michel
ISBN : 2226248447
Nombre de page : 379
Elle incarne le glamour hollywoodien des années 40, donne son nom à l'une des premières bombes atomiques, est la star du box-office. Derrière le sourire enjôleur des photos sur papier glacé, Rita Hayworth cache une blessure que nul ne saurait guérir.
Cette fille de modestes danseurs espagnols cherchera désespérément tout au long de sa vie la protection et l'amour des hommes. Elle épouse un prince et un génie.
Mais ni Ali Khan ni Orson Welles ne lui apportent le réconfort tant attendu. À l'aube de la quarantaine, le spectre de la maladie d'Alzheimer s'approche, alors que Rita est au firmament de sa carrière.
Stéphanie des Horts s'est nourrie de ce destin tragique pour raconter le roman d'une vie. Celui d'une femme désirée, adulée, mais jamais comblée.
Langue : True French
Tailles des fichiers : 1 x 316 Ko
Nom de la release : Stephanie Des Horts - Le Secret De Rita Hayworth.epub
Format : Epub
Taille totale : 316 Ko
Bernadette Chirac, les secrets d'une conquête - Erwan L'Éléouet. Epub
Auteur(s) : Erwan L'Éléouet
Éditeur(s) : Fayard
Collection : Documents
Nombre de pages : 304
Date de sortie : 27 février 2019
« Autoritaire », « démodée », « froide ». Ces mots ont été employés pour qualifier Bernadette Chirac, tout au long de sa vie et de sa carrière.
Quoi qu’elle ait pu dire ou faire, le portrait qu’on tirait d’elle était toujours noir ou blanc, sans nuances.
Et si tout n’avait pas été raconté ? Si l’ancienne première dame avait été, au même titre que son mari, une véritable femme politique, menant de front vie de famille et vie publique ?
Si derrière le caractère séducteur et charismatique de Jacques Chirac se cachaient aussi les souffrances d’une femme blessée ?
Erwan L’Éléouet a rencontré ceux qui ont côtoyé Bernadette Chirac, il a consulté des archives et des photographies jamais dévoilées.
Il livre un récit inédit, celui d’une femme, d’une épouse et d’une mère qui, pendant plus de quarante ans, s’est battue pour préserver les siens et asseoir l’ambition d’un clan.
Biographie de l'auteur
Erwan L’Éléouet, journaliste, est rédacteur en chef de la collection documentaire « Un jour / un destin », l’émission de Laurent Delahousse sur France 2.
Dans ce cadre il a participé à la réalisation de plusieurs films consacrés à la famille Chirac. Il est l’auteur, chez Fayard, de Renaud. Paradis perdu (2015).
Nom de la release : Erwan L'Éléouet - Bernadette Chirac, les secrets d'une conquête.Epub
Langue :
Découpage :
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Format : Epub
Coluche, l'accident - Antoine Casubolo. Epub
Auteur(s) : Antoine Casubolo
Éditeur(s) : PRIVE
Collection : Hors collection
Nombre de pages : 227
Date de sortie : 15 juin 2006
Que faisiez-vous le 19 juin 1986, le jour où vous avez appris la mort de Coluche ? Faites ce test aujourd'hui, vous verrez que les gens, s'ils se souviennent tous de leur activité du moment, n'ont qu'un souvenir diffus des circonstances de l'accident.
Mais tous finissent par vous parler de Coluche à moto roulant comme un dingue sur une petite route de l'arrière-pays cannois. De la sortie d'un virage, du camion, qui manœuvrait et donc lui barrait la route comme un mur d'acier.
Coluche, à fond, à la sortie d'un virage, n'avait rien pu faire. Il allait trop vite...
Au lendemain du drame, personne n'a pris la peine de consulter les témoins. Les journaux se sont contentés de reprendre les infos diffusées par l'AFP. Or, il se trouve que Coluche roulait à soixante kilomètres à l'heure dans une ligne droite. Le camion arrivait en sens inverse pratiquement au pas et au dernier moment, il a viré à gauche.
A partir de là, bien des questions se posent sur la thèse de l'accident.
Biographie de l'auteur
Antoine Casubolo est journaliste et documentariste, il a 49 ans. Jean Depussé était journaliste. Le jour de la mort de Coluche, il s'est aussitôt rendu sur place pour enquêter sur les circonstances de l'accident, pour rencontrer les témoins du drame et recouper leurs affirmations. Il a consacré sa vie à cette enquête. Il est mort le 12 mars 2006.
Nom de la release : Antoine Casubolo - Coluche, l'accident.Epub
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Taille des fichiers : 2.25 Mo
Format : Epub