• FILMOGRAPHIE _ Simone SIGNORET61 Films

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/26/210726124429958106.jpg

    Biographie

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/26/210726125048763999.png

    https://cdn.radiofrance.fr/s3/cruiser-production/2015/11/49259b47-bdb7-4e2d-9169-38f42fc2e308/1200x680_signoret-1000.jpg

    Simone Signoret est une actrice française née le 25 mars 1921 à Wiesbaden en Allemagne, sous le nom de Simone Kaminker. Fille d’un père juif polonais et d’une mère française, elle grandit à Neuilly-sur-Seine. La Seconde guerre mondiale éclate alors qu’elle est en vacances chez ses grands-parents. Scolarisée à Vannes, elle revient à Paris pendant l’Occupation. Son père a rejoint le général de Gaulle à Londres. La jeune bachelière obtient un emploi de secrétaire dans le journal Le Petit Parisien, appelé ensuite Les temps nouveaux. Mais, poussée par des fréquentations artistiques et de gauche, elle en part rapidement pour s’essayer au monde du spectacle. C’est le monde des paillettes qui l’attire et elle décide de tenter sa chance. D’abord simple figurante, elle décroche son premier grand rôle dans Les démons de l’Aube réalisé par Yves Allégret qui tombe sous le charme de la jeune actrice. Sous sa direction elle tournera aussi Macadam en 1946 qui fera d’elle une véritable star de l’après-guerre. Deux ans plus tard, ils se marient. Mais l’idylle, qui donnera naissance à une petite fille, ne dure pas. En 1949, Simone Signoret croise le regard d’Yves Montand. Un coup de foudre décisif qui durera jusqu’à la fin de sa vie. Très demandée, avec des petites traversées du désert lorsque Montand et elle s’expriment trop sur la situation politique internationale, en plein affrontement des blocs de l’est et de l’ouest, l’actrice enchaine les premiers rôles et s’illustre dans des films comme Casque d’Or qui lui vaut un British Film Award ou Les Diaboliquesd’Henri GeorgesClouzot. Mais la consécration viendra plus tard : en 1959, Simone Signoret remporte l’Oscar pour son rôle dans Les chemins de la Haute ville de Jack Clayton, puis en 1977 pour son rôle dans La Vie devant soi. Elle a été la première actrice non américaine à recevoir cette distinction. Atteinte d’un cancer, cette grande dame du cinéma s’éteint le 29 septembre 1985.

    https://i.pinimg.com/originals/78/e2/8a/78e28af24e7f0f976b5585c75847537c.jpg

    https://uptobox.com/ssuk1qlhkuq0


    7 commentaires
  • Arsène Lupin (1971) HDtv 2 Saisons [Complète]

     
     

    Origine de la série : Française, suisse, belge, canadienne, italienne, autrichienne, ouest-allemande, néerlandaise
    Genre : Policier
    Acteurs : Georges Descrières, Yvon Bouchard, Roger Carel
    Statut : Production achevée
    Note spectateurs : 3,7/5 (108)
    Date de diffusion de la saison : Janvier 1972
     
     
     
    Dans la France du début du XXe siècle, Arsène Lupin est un voleur un peu particulier qui s'amuse à ridiculiser la police. Il est surnommé "le gentleman cambrioleur". 

     

     

    Qualité : mp4 - avi
    Format : XviD
    Langue : Français
    Taille des fichiers : (292 -
    868,6) Mo

    Saison 1

    https://uptobox.com/bo341p4kucfj
    https://uptobox.com/b30zxkn46dpp
    https://uptobox.com/jvjeqgj9htvp
    https://uptobox.com/6v4a08sj0unl
    https://uptobox.com/xwf3tlkuadwe
    https://uptobox.com/j45la3ruzj09
    https://uptobox.com/6sgvtcmd2mvg
    https://uptobox.com/3abhqujgsgc7
    https://uptobox.com/ohvco131gn7d
    https://uptobox.com/4hvfizhrl9wi
    https://uptobox.com/q6gskevm55jc
    https://uptobox.com/dehdfzbmya9b
    https://uptobox.com/toytooo69rvq

    Saison 2

    https://uptobox.com/6uzynsh1txsy
    https://uptobox.com/w08h1lfhcm67
    https://uptobox.com/rzycmq0ybs57
    https://uptobox.com/667hlirreci1
    https://uptobox.com/det29lktjayg
    https://uptobox.com/x73xqdg62im4
    https://uptobox.com/esq5h41bpsyb
    https://uptobox.com/o9635pkldxg3
    https://uptobox.com/245rf7xsjr0t
    https://uptobox.com/rxvoktmjwjeh
    https://uptobox.com/ijxuqfyvn61i
    https://uptobox.com/p8enrqx7by91
    https://uptobox.com/sxx4qt8s6lio


    votre commentaire
  • Les Furieux (1975) VO+StFR DVDRiP - Vittorio Salerno

    https://media.senscritique.com/media/000018117553/source_big/Fango_bollente.jpg

    information_film.png

     Titre originale : Fango bollente
    Film de : Vittorio Salerno
    Produit par : Comma 9
    Distribué par : Titanus    
    Durée : 1 h 25 min
    Année de sortie : Drapeau de l'Italie 20 septembre 1975, Drapeau de la France 1978
    Pays : Drapeau de l'Italie Italie
    Genres : Polar/Film noir
    Avec : Joe DALLESANDRO , Gianfranco De GRASSI, Martine BROCHARD, Enrico Maria SALERNO

     https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/23/21072301405393043.png

    https://www.notrecinema.com/

    https://www.imdb.com/

    synopsis.png

    https://encrypted-tbn0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTMzjLparF0tvsReF9XQNdIiogYLIda1LiTlQ&usqp=CAUhttps://m.media-amazon.com/images/M/MV5BMmU2NTQzOTgtNjE4Zi00YWIyLWE2M2MtY2Q4MDBmMWQ2NGMzXkEyXkFqcGdeQXVyMTI4MTk2NzMz._V1_FMjpg_UX1000_.jpg

     Dans l'Italie des années 70, trois jeunes employés, fatigués d'être humiliés par leurs supérieurs hiérarchiques, décident de se venger de la société dans une infernale escalade de violence... 

    https://encrypted-tbn0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQJd0AjT7STjtXu7J5-P0WCKApwsIucQ9BJ9Q&usqp=CAUhttps://m.media-amazon.com/images/M/MV5BMTdjN2EzMjMtMmJkYi00Yjc3LThjMzEtODNhZTgwZTBkYjFlXkEyXkFqcGdeQXVyMTI4MTk2NzMz._V1_.jpg

    Critique

    Le cinéma de Vittorio Salerno n’est ni poli, ni séducteur. Deux ans après l’estomaquant No il caso è felicemente risolto (1973), Fango bollente offre une vision de l’espèce humaine en continuité avec le précédent, qui feignait déjà d’illustrer le genre pour mieux lui échapper. La teneur symbolique du titre en dit beaucoup sur l’air vicié que dégage Fango bollente « fange » ou « boue chaude » résumant parfaitement cette idée de marécage spirituel et social d’une époque qui génère ses propres monstres. Cette histoire d’un trio infernal sévissant dans Turin en tuant au hasard ceux qui se mettent sur leur passage présenterait tous les archétypes d’un banal poliziesco comme l’affectionnait Umberto Lenzi, à l’instar de La Rançon de la peur avec son Tomás Milián survolté, kidnappeur sadique et violeur. Mais les apprentis assassins de Salerno ne sont donc pas issus de basses couches populaires, juste des jeunes gens de bonne famille, propres sur eux, des garçons plein d’avenir. La normalité. L’avenir. L’apparence est bien trompeuse. Car se lisent dans les yeux de ces antihéros la rancœur, l’humiliation d’être dirigés par des supérieurs, d’être des pions dans les rouages de la consommation. Dans ce désir d’enrayer le mécanisme, leurs actes s’apparentent plus à du terrorisme qu’à un crime isolé. Salerno n’est pas un cinéaste racoleur et opportuniste : en faisant écho à un genre qui comme les vigilante aux USA parlaient à la majorité silencieuse, par définition réactionnaire, il invente en quelque sorte le poliziesco de gauche. En plein dans les années de plomb, alors que l’Italie vit au rythme des actes terroristes, des attentats et de la corruption, Salerno ne répond pas par un « La Police a les mains liées, donnons leur plus de pouvoir », mais par le portrait d’une société contaminée, sclérosée, sur la voie de la déshumanisation. Par ce décor de l’entreprise d’analyse informatique où travaillent les héros, la vision de l’évolution des techniques numériques trahit la peur d’un progrès qui finirait par gérer l’humain comme des algorithmes. Certes dans son approche du contemporain et sa noirceur glaçante, on pourrait trouver que Salerno pousse parfois le bouchon un peu loin. Mais son cinéma rugueux résonne comme un cri de colère : l’essentiel – le subversif – se joue toujours dans les détails insignifiants. Au détour d’un dialogue, l’inspecteur mentionne que « comme d’habitude » ce sont les immigrés qui ont volé une voiture avant qu’Ovidio ne lui réponde que la police italienne est vraiment « la plus efficace » qui soit. Une courte séquence nous montre aussi le joli intérieur bourgeois dans lequel vit l’un des jeunes criminels, avec sa maman, tandis que les voisins du dessus s’insultent, et que le bruit d’un objet rebondissant sur le parquet vient interroger l’ouïe et troubler ce silence, ce bonheur cossu.

    Aidé à l’écriture par le génial et fidèle Ernesto Gastaldi, Salerno devient entomologiste, scrutant la nature de l’acte et le terrain de sa gestation. La scène matrice mettant en scène des souris séparées par une vitre qui s’entre-tuent dès qu’on la retire constitue la parfaite allégorie de la condition humaine. Ici, le moindre signe d’autorité, ou l’approche d’un individu qui les menace ou leur tient tête lance la mécanique du désir de nuire. Quelqu’un s’interpose ? il signe son arrêt de mort. Jusqu’à ce que le crime et le viol deviennent une fin en soi sans autre déclencheur que le désir. Un peu comme dans Orange Mécanique dont les similitudes sont frappantes, le trio a son Alex, son meneur : Ovidio. Pour l’incarner Joe Dallessandro, absolument fascinant, ne laisse passer aucune expression exagérée, presque impassible dans sa violence, très loin des délires exacerbés d’un Malcolm Mc Dowell ou des Chiens enragés de Mario Bava, auxquels on pense forcément. A l’opposé du concept de crime prémédité, il s’agit par définition de l’acte gratuit, dans l’improvisation, « l’inspiration du moment » comme l’affirme Ovidio. Telle une étrange maladie, Le trio semble amputé du concept d’empathie.

    Le respect de toute vie y est annihilé. Le personnage d’Ovidio exprime une haine sociale face à une humanité dirigée par des patrons auxquels il répond par une rébellion dans le chaos et le cynisme du Mal. Cette gratuité caractérise une philosophie du nihilisme, qui transparaît dans ce jeu de chat et de souris entre l’inspecteur et Ovidio. Ce dernier y exprime une métaphysique du vide où le constat du rien mène inévitablement à la nécessité de la destruction. Ovidio se complaît dans l’observation de l’espèce, passant du test des souris à celui du public d’un stade lorsqu’il déclenche une émeute poussant les gens à s’entre-tuer, appuyant ainsi la légitimité de son raisonnement. Le héros observe, teste, et détruit les spécimens sans état d’âme. Lorsqu’Ovidio montre à l’inspecteur les messages qu’il a programmés en cas d’erreur et c’est « allez-vous faire enculer » qui s’affiche. Aussi effroyable soit-elle, cette politique du néant sonne presque comme un engagement, l’ultime défi au monde. Aussi absurde soit-il, le concept de gratuité comme réponse à l’iniquité universelle donne un sens à une conduite en parfaite osmose avec le spectacle de la modernité et le règne de l’instinct. Il y a du Elio Petri dans ce regard absurde porté sur le monde, mais qui aurait perdu son ironie et abandonné tout espoir en une lutte des classes.

    Tandis que le rock progressif de Franco Campanino lorgnant vers le hard rock ajoute de la frénésie à l’ensemble, la photo de Giulio Albonico (qui travailla notamment avec Nelo Risi, Liliana Cavani et Dussio Tessari) plonge le film dans un réalisme froid, un Turin de la grisaille et de la déprime, qui rappelle combien le cinéma de Salerno a des accointances avec celui de Giorgio Scerbanenco et ses inspecteurs blasés, errant dans leur enquête comme sur le chemin de leur désenchantement. Pourtant la poésie émerge parfois du laid, une beauté du vide, comme lors de cette superbe séquence où l’inspecteur se rend dans le stade désert portant encore les stigmates du massacre de la veille : le décor encore imprégné de l’humain. Ce tableau de l’après chaos résonne chez Salerno comme une funeste vision de l’avenir : papiers épars, taches de sang et silence de mort. Fango bollente nous donne une certaine idée du vertige de l’abîme.

    Comme toujours chez Camera Obscura une copie restaurée au top, nettoyée, rendant parfaitement service à la photo réaliste un peu terne et à son grain. La qualité est encore plus présente lors des scènes nocturnes, révélant la subtilité esthétique du film. Pour ce qui est des suppléments, l’éditeur nous propose tout d’abord, un entretien avec le regretté Vittorio Salerno, tout aussi intéressant que celui proposé sur No il caso è felicemente risolto. Il y évoque notamment sa carrière au sein d’un groupe de cinéastes « …. », comme un mini mouvement à lui tout seul. Il révèle combien son inspiration – et la dimension politique de son œuvre – révélait les craintes de son époque, et présageait notamment de ce qu’est devenue la société dans sa victoire du matérialisme, et son apogée d’une violence banalisée. Il est notamment drôle de le voir s’exprimer sur la scène du match de foot, puisqu’il avoue qu’il exècre ce sport et qu’il lui semblait symboliquement fort (et jouissif) de métamorphoser dans son film une scène de liesse collective en massacre. Lorsque la délicieuse Martine Brochard parle de Fango bollente, elle évoque plus la dimension subversive du film, le pauvre sort de son personnage, et la sympathie pour Salerno que les rapports avec Dallessandro qu’elle n’a pas l’air d’avoir trouvé particulièrement chaleureux. L’entretien avec Joe Dallessandro est également très intéressant. Il revient sur l’ensemble de sa carrière, de son rôle de cowboy dans « .. » à sa nature d’égérie transgenre chez Morrissey/Warhol. Il est plus prolifique concernant l’expérience des tournages – et la barrière du langage en Italie – que sur le regard porté sur les films eux-mêmes. Enfin , Camera Obscura propose à nouveau un commentaire audio (que nous ne pourrons pas juger puisqu’il est en allemand) de Pelle Felsch and Christian Keßler, ainsi qu’un livret en bilingue allemand/anglais qui présente une convaincante analyse du film par Robert Zion, avec notamment un recadrage historique pertinent, et une comparaison avec d’autres polizieschi.

    information_upload.png

    Hébergeur : Uptobox
    Qualité : DVDRiP
    Type : mkv
    Langue :
    Drapeau de l'Italie Italien
    Sous-titres :
    Drapeau de la France Français
    Taille : 1.59 GB

    information_download.png

     https://uptobox.com/st7xvg40iv1u
    https://uptobox.com/vwyrfw8x253l

     Une traduction exclusive signée : Uncle Jack

    https://iv1.lisimg.com/image/19972487/740full-martine-brochard.jpghttps://iv1.lisimg.com/image/19972479/740full-martine-brochard.jpghttps://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/21072209384723402.jpghttps://curiosando708090.altervista.org/wp-content/uploads/2015/05/martine_brochard_ancora_sexi.jpghttps://4.bp.blogspot.com/-23vgqpi04XI/Wisv2ZHWmTI/AAAAAAABz2g/SzQdhqVQa4QVuV3oiukcw12Oh4LsJ36hQCLcBGAs/s1600/Martine%2BBrochard.jpg

    Martine Brochard


    votre commentaire
  • French Cancan (1954) VF HDLight 1080p x264 - Jean Renoir

    https://lh3.googleusercontent.com/proxy/DWkHA5ZZqYjw8gZlt1w2HZIwC99iPJXTk07iKbInIyQjBMux1fEunKTajukyXc9hDwHmqMGXh6bMi5RClu9Itn4g9AgDL9EZdBp1qMSnRoZy1mAhttps://www.telerama.fr/sites/tr_master/files/9d640257-4447-4690-9a87-e142e03d5b26_2.jpghttps://fr.web.img5.acsta.net/medias/nmedia/18/36/23/66/18464434.jpg

    information_film.png

    Réalisé par : Jean Renoir

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/210722034624170640.png
    Produit par : Franco-London Film  Jolly Film
    Genre : Chronique de la danse, Romance, Comédie, Drame
    Durée : 01:48:00
    Année : 1954
    Date de sortie en salle : Drapeau de la France 29/04/1955
    Pays : Drapeau de la France France/Drapeau de l'Italie Italie
    Avec : Jean Gabin , Françoise Arnoul , María Félix , Anna Amendola , Jean-Roger Caussimon, Dora Doll, Edith Piaf, Michel Piccoli

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/210722034422646643.png

    http://php88.free.fr
     

    https://www.themoviedb.org

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/210722054706650375.jpg

    synopsis.png

    https://pbs.twimg.com/media/Dg-GxWJXcAAnvkt.jpg

    Montmartre 1900 : les petites ouvrières de la Butte, les lumières du "Moulin Rouge", les viveurs aux terrasses, les refrains populaires et les joyeux tourlourous... Un génial organisateur de spectacles, Danglard, règne sur ce petit monde : il a d'abord géré le "Paravent Chinois", puis la "Reine Blanche", où règne en vedette la "Belle Abesse", une plantureuse comédienne qui est aussi sa maitresse. Les financiers lui font confiance. Mais Danglard, en voyant gambader sur la Butte une petite blanchisseuse, Nini, a une idée : il veut relancer le cancan, vieille danse passée de mode qu'il rebaptise, à l'anglaise "French Cancan". Cela n'ira pas sans quelques déboires, car la jalousie de ses "muses" s'en mêle. Mais finalement, grâce aux dons de danseuse de Nini, au Prince Alexandre qui est amoureux d'elle et qui accepte de commanditer le spectacle, à la Belle Abbesse qui a fait taire ses rancœurs, à Casimir le fidèle bras droit et au Tout Paris accouru en foule, le French Cancan connaitra un triomphe au "Moulin Rouge".

    https://i.pinimg.com/originals/17/9a/03/179a035977f50dec8a94279ab54581bf.jpg

    Critique

    https://media.senscritique.com/media/000008660791/960/French_Cancan.jpg

    Après un exil qui l'aura vu bourlinguer du côté d'Hollywood puis de l'Inde ou encore de l'Italie, Jean Renoir revient en France, quinze années après La Règle du Jeu, pour y tourner French Cancan, nous emmenant dans l'univers Parisien du début du XXème siècle.

    Il signe là un émouvant hommage à la vie, la musique ou encore l'histoire, nous immerge dans ces milieux dansants, et c'est avec un grand plaisir que l'on s'y laisse entraîner. Sa caméra est d'une rare fluidité, il gère à merveille les mouvements de foule et parvient à admirablement jouer avec les couleurs, faisant de French Cancan une suite de tableaux que l'on admire et dans lesquels on se perd.

    Alors tout n'est pas parfait, notamment quelques comédiens (Franco Pastorino surtout) ou le fait que Renoir s'approche parfois un peu trop dangereusement d'un côté guimauve, mais rien de bien préjudiciable non plus. Il parvient à créer une ambiance mélancolique, parfois même émouvante, assez forte et immersive, on se retrouve plongée dans une époque souvent idéalisée, avec en prime de jolis dialogues et quelques réflexions plus qu'intéressantes autour de l'amour, des dilemmes de la vie et du spectacle.

    Renoir parvient à mêler avec grand brio le fond et la forme, où la reconstitution est remarquable et l'oeuvre magnifiée par de passionnants numéros musicaux. Plusieurs séquences en deviennent clairement mémorables, notamment le final et sa profondeur autour de l'illusion de l'amour, alors que le cinéaste français fait preuve d'une touchante sincérité, magnifiant ainsi plusieurs comédiens, Jean Gabin en tête, lui qui bénéficie en plus d'un personnage passionnant.

    Pour son retour en France, Jean Renoir nous plonge dans l'univers des cabarets dans le Paris du début du XXème siècle, proposant ainsi un joli voyage dans des peintures animées, avec une passionnante réflexion autour de l'amour, du spectacle et de la vie.

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/210722041514649002.jpg

    information_upload.png

    Hébergeur : Uptobox
    Qualité : HDLight 1080p x264
    Type : mkv
    Langue :
     Drapeau de la France Français  
    Taille : 2.58 GB

    information_download.png

    https://uptobox.com/omfhwyvrhrqa

    Un partage signé : Chems

    https://medias.unifrance.org/medias/52/252/64564/format_page/media.jpghttps://www.telerama.fr/sites/tr_master/files/styles/simplecrop1000/public/gettyimages-174306800_0.jpg?itok=kuFSsFkUhttps://presbytere.typepad.com/.a/6a00d8354ef92969e201b7c87ba0af970b-pihttp://vintagepics.v.i.pic.centerblog.net/0ae54559.jpg

    Françoise Arnoul


    5 commentaires
  • Savage Sisters (1974) VO+StFR WebRiP - Eddie Romero

     https://media.senscritique.com/media/000005638515/source_big/Savage_Sisters.jpg

    information_film.png

     Film de : Eddie Romero  

      https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/21072203182584265.png
    Produit par : American International Pictures
    Genre : Action, Drame
    Durée : 1 h 26 min
    Date de sortie : Drapeau des États-Unis juillet 1974
    Pays d'origine : Drapeau des États-Unis États-Unis, Drapeau des Philippines Philippines
    Avec : Gloria Hendry, Cheri Caffaro, Rosanna Ortiz, John Ashley.

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/210722031115826500.png

    https://www.notrecinema.com/

    https://www.imdb.com/

    synopsis.png

    https://img.networthpost.org/thumbs/3757559_rosanna-ortiz/3757559_rosanna-ortiz_1.jpeg

     Dans un pays déchiré par la révolution, un groupe de révolutionnaires volent la somme d'un million de dollars. Différents personnages, pour des raisons diverses, vont aller à la recherche de l'argent et des voleurs...

    https://m.media-amazon.com/images/M/MV5BYzk3OTE3NmEtNjcwOC00MmZmLTkzY2QtMGQxZTVlMGE2ODc3XkEyXkFqcGdeQXVyMDg3NzE0MQ@@._V1_.jpg

    Avis

    Un Blaxploitation classique où humour, action, jolies filles se marient correctement malgré parfois quelques longueurs. On y retourne John Ashley, Sid Haig et Vic Diaz qui en font des tonnes et de bien jolies femmes fortes comme Gloria Hendry et Cheri Caffaro.

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/21072204225566496.jpg

    information_upload.png

    Hébergeur : Uptobox
    Qualité : HDtv
    Type : mkv
    Langue :
     Drapeau du Royaume-Uni Anglais
    Sous-titres :
    Drapeau de la France Français
    Taille : 1.87 GB

    information_download.png

    https://uptobox.com/7tlzxfpgj0dx
    https://uptobox.com/8drwvl6hpvpi

     Une traduction exclusive signée : Uncle Jack

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/210722021426245963.jpghttps://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/210722022055501628.jpghttps://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/210722022153592177.jpghttps://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/210722021954284737.jpg

    Gloria Hendry

     https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/210722022827876603.jpghttps://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/210722022908811134.jpghttps://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/210722023113756893.jpghttps://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/2107220231557019.jpg

    Cheri Caffaro

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/210722022412951847.jpghttps://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/210722042804937478.jpghttps://nsa40.casimages.com/img/2021/07/22/210722022538913396.jpg

    Rosanna Ortiz


    votre commentaire
  • Un Amour Pas Comme Les Autres (1962) VO+StFR HD 1080p - John Schlesinger

     https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/20/210720010614105006.jpg

    Une version en qualité HD. J'ai réalisé le fichier de sous-titres.

    information_film.png

     Titre original : A Kind Of Loving
    Titre secondaire : Un souffle de bonheur
    Film de : John Schlesinger

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/20/210720010752241552.png
    Production : Vic Films Productions Ltd.  Waterhall Productions  Anglo-Amalgamated  
    Genre : Drame et romance, Mélodrame    
    Durée : 1 h 53 min
    Sortie le : Drapeau du Royaume-Uni 12 avril 1962, Allemagne de l'Ouest juin 1962, Drapeau des États-Unis 1er octobre 1962, Drapeau de la France 7 janvier 1966
    Pays d'origine : Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
    Avec : Alan Bates, June Ritchie, Thora Hird, Bert Palmer.

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/20/21072012553581517.png

    https://moviecovers.com/

    https://www.notrecinema.com/

    https://www.imdb.com/

     synopsis.png

    https://media.senscritique.com/media/000020091204/960/Un_amour_pas_comme_les_autres.jpg

     Un jeune homme Victor Brown, qui se hisse tant bien que mal hors du milieu ouvrier dans lequel sa famille baigne depuis
    des générations et qui essaye de faire son chemin comme employé. Lui et Ingrid se rencontrent dans le cadre de leur
    travail. Attirés l'un par l'autre, ils entament une liaison est pris au piège quand leur liaison qui débouche sur une
    grossesse non désirée et qu'il se voit sans enthousiasme contraint de l'épouser et, à cause d'une crise du logement qui touche leur
    ville du nord de l'Angleterre, de venir habiter chez sa belle-mère. Leur mariage n'a pas commencé donc sous les meilleurs auspices, mais les choses empirent à cause de l'attitude de la mère d'Ingrid, une femme aigrie.

    https://thumb.canalplus.pro/http/unsafe/1280x720/filters:quality(80)/img-hapi.canalplus.pro:80/ServiceImage/ImageID/10557639

    Critique

    https://img.nealis.fr/ptv/img/p/g/29/28889.jpg

    John Schlesinger est un cinéaste passionnant, mais il ne jouit pas - encore ? - en France de la réputation qu'il mérite et qu'il a dans le monde anglo-saxon. En 2012, la France sort donc enfin ses trois premiers films, jusqu'ici inédits, réalisés entre 1961 et 1965. Celui-ci est le premier. Situé dans l'Angleterre du tout début des 60's, pas encore franchement atteint par la vague pop, mais ça ne va pas tarder, A Kind Of Loving se consacre à filmer un couple. Deux jeunes gens qui travaillent dans la même entreprise - il est dessinateur industriel, elle est secrétaire -, lui l'aborde, elle accepte, ils sortent au cinéma, puis s'embrassent. S'aiment-ils ? on ne le sait pas plus qu'eux. Ils s'aiment bien c'est certain, ils se désirent aussi, mais c'est sans doute les conventions qui les ont fait se rapprocher. Ils sont à l'âge où cela se fait de sortir avec des jeunes gens de son âge, de se mettre en couple. Et puis voilà, Ingrid (prénom que ses parents lui ont donné à cause de Bergman) tombe enceinte de Victor (jeune et déjà excellent Alan Bates). Et les conventions, une fois de plus, font qu'ils doivent se marier. Sans argent, et donc sans fête, sans réception. Et puisqu'ils sont sans le sou, ils vont vivre chez sa mère à elle, une vieille mégère aigrie et désagréable, qui a sans doute tous ces défauts-là à cause d'une profonde tristesse et d'une grande solitude. Et évidemment, la cohabitation se passe mal. Poussé à bout, Victor se casse. Mais tout seul, il est encore plus malheureux. Poussé par ses parents, il va retourner auprès d'Ingrid, et ce clash leur donne la force de quitter le foyer de maman pour s'installer tous les deux. Un appart' qui n'est pas loin du taudis, mais il faut bien commencer. Et puis au moins, ils sont ensemble, et peuvent tout recommencer.
    C'est assez hallucinant de voir à quel point Schlesinger, dès son premier film, est déjà un très grand metteur en scène. Ce film est très emprunt de la culture début 60's et rappelle dans sa forme, des œuvres des 4 coins du monde : les premiers Truffaut (des Mistons à Tirez sur le Pianiste), Forman, ou de Palma. Le cinéaste parvient à merveille à capter des choses essentielles dans les rapports de couple, sans tomber dans l'analyse psychologique ou le didactique à deux balles. Avec beaucoup de finesse et de non-dits, il scrute aussi une société en pleine mutation, et la difficulté qu'on les jeunes gens à s'y retrouver, à s'y épanouir et plus encore à s'aimer.

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/20/210720010512557113.jpg

    Distinctions
    Prix reçu
    Ours d'or au Festival de Berlin 1962 pour John Schlesinger.
    Nominations
    Nominations aux prix de la BAFTA 1963 :
        Nommé pour le Prix du meilleur acteur britannique, Alan Bates ;
        Nommé pour le Prix du meilleur film britannique ;
        Nommé pour le Prix du meilleur scénario britannique, Willis Hall et Keith Waterhouse ;
        Nommé pour le Prix du meilleur film.

    https://www.critikat.com/wp-content/uploads/fly-images/46860/arton5875-1450x800-c.jpg

     information_upload.png

    Hébergeur : Uptobox
    Qualité : HDtv
    Type : mkv
    Langue :
     Drapeau du Royaume-Uni Anglais
    Sous-titres :
    Drapeau de la France Français
    Taille : 1.29 GB

    information_download.png

    https://uptobox.com/quhemmfqhjdq

     Une exclusivité signée : Renaud

    https://live.staticflickr.com/2524/4094539613_58c42cf62f_b.jpghttps://www.ft.com/__origami/service/image/v2/images/raw/http%3A%2F%2Fcom.ft.imagepublish.prod.s3.amazonaws.com%2Fef3bcbbc-6ba0-11e4-9337-00144feabdc0?fit=scale-down&source=next&width=700https://cdn11.bigcommerce.com/s-ydriczk/images/stencil/original/products/75890/75687/ss3358212_-_photograph_of_june_ritchie_available_in_4_sizes_framed_or_unframed_buy_now_at_starstills__11105__76067.1394507046.jpg?c=2https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/19/210719113815808433.jpg

    June Ritchie


    1 commentaire
  • Les Rois De La Flotte (1938) FR DVDRiP - René Pujol

     https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/18/210718023916258924.pnghttps://nsa40.casimages.com/img/2021/07/18/210718024421695327.jpghttps://nsa40.casimages.com/img/2021/07/18/210718031744379508.jpg

    information_film.png

     Réalisé par : René Pujol

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/18/210718031815698510.png
    Produit par : Optimax Films
    Musique : Vincent Scotto
    Genre : Comédie
    Durée : 1 h 30 min 47 sec
    Date de sortie en salle : Drapeau de la France 19/10/1938
    Pays : Drapeau de la France France/Drapeau de l'Allemagne Allemagne
    Avec : Tichadel, Marcel Rousseau, Germaine Roger, Raymond Aimos., Habib Benglia

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/18/210718042302791966.png

    https://www.cinema-francais.fr/

    https://www.imdb.com/

    synopsis.png

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/18/210718112353508440.jpg

     Cruchadouze et Castaniet sont deux copains inséparables. Un jour ils décident de quitter Arcachon pour tenter l'aventure à Bordeaux. Apres divers petits boulots ils entrent en contact avec Betty Florent, l'épouse du banquier. Celui ci vient d'être contacté par un ancien complice qui le fait chanter en lui proposant une arnaque à l'assurance.Une grosse prime sur la tête d'un simplet. Cruchadouze passait par là.....

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/19/210719010211943.jpg

    information_upload.png

    Hébergeur : Uptobox
    Qualité : DVDRiP
    Type : mkv
    Langue :
    Drapeau de la France Français  
    Taille : 966 MB

    information_download.png

    https://uptobox.com/uuheoeqkcv02

     Une exclusivité signée : stegosaure

    https://www.picclickimg.com/d/l400/pict/123280519112_/Germaine-Roger-chez-elle-Paris-Chanteuse-Actrice-n%C3%A9e.jpghttps://www.picclickimg.com/d/l400/pict/113175624569_/Germaine-Roger-Chanteuse-Actrice-n%C3%A9e-%C3%A0-Marseille.jpghttps://www.picclickimg.com/d/l400/pict/312269188530_/Fonds-Germaine-Roger-Vintage-Photo-Chevalier-Du-Ciel.jpghttps://i.ebayimg.com/images/g/7iMAAOSwpwRbxwtA/s-l300.jpg

    Germaine Roger


    3 commentaires
  • The Lawless Woman (1931) VOStFR DVDRiP - Richard Thorpe

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/17/210717070859682333.jpg https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/17/210717030644549050.jpg

    information_film.png

     Titre original : The Lawless Woman
    Réalisation : Richard Thorpe

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/17/210717071045531769.png
    Sociétés de production : Chesterfield Motion Pictures Corporation
    Pays d’origine : Drapeau des États-Unis États-Unis
    Genre : Policier
    Durée : 63 minutes
    Sortie : Drapeau des États-Unis 5 mai 1931
    Avec : Vera Reynolds, Carroll Nye, Thomas E. Jackson, Wheeler Oakman.

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/17/21071706530481378.png

    https://www.notrecinema.com/

    https://www.imdb.com/

    synopsis.png

    La danseuse June Page est suspectée et accusée du meurtre du gangster "Honest Ed" Baker. Allan Perry, un un ambitieux
    reporter à l'aube de sa carrière, cherche coûte que coûte à couvrir l'affaire en espérant obtenir une exclusivité et
    impressionner sa hiérarchie.. Il va finir par tomber amoureux de de la jeune femme June,
    mais les anciens amis de Baker ne restent pas inactifs non plus...déterminés à se venger,
    n'ont pas dit leur denier mot...

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/19/210719060701385418.jpg

     A Propos

    Un des premiers films sonores sorti en 1931, qui fut une année très prolifique pour le réalisateur, avec pas moins de neuf productions au compteur. Œuvre rarissime, le voici dans une version éblouissante restaurée à partir du négatif original. Poursuites, fusillades, trahisons... Vera Reynolds, l’ancienne « Bathing Beauty » de Mack Sennett, est lumineuse dans ce thriller sombre et venimeux !

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/19/210719060740803088.jpg

    information_upload.png

    Hébergeur : Uptobox
    Qualité : DVDRiP
    Type : mkv
    Langue :
    Drapeau des États-Unis Anglais
    Sous-titres :
    Drapeau de la France Français
    Taille : 455.67 MB

    information_download.png

    https://uptobox.com/0c496okonobt

    Une exclusivité signée : jobim

    https://gramho.com/hosted-by-instagram/url=https%3A%7C%7C%7C%7Cinstagram.fiev22-1.fna.fbcdn.net%7C%7Cv%7C%7Ct51.2885-15%7C%7Ce35%7C%7Cp1080x1080%7C%7C94473672_107945944101366_2592564473440091567_n.jpg%3F_nc_ht%3Dinstagram.fiev22-1.fna.fbcdn.net%26_nc_cat%3D106%26_nc_ohc%3DGeiuReY7BGcAX_vvmOd%26edm%3DAA0rjkIBAAAA%26ccb%3D7-4%26oh%3D6e78beaee4e692f2b4c1a15367391fbf%26oe%3D60F925A8%26_nc_sid%3Dd997c6https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/4/45/Vera_Reynolds_photop528.jpghttps://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/2/2c/Vera_Reynolds_photop928.jpghttps://nsa40.casimages.com/img/2021/07/17/210717062036156107.jpghttps://nsa40.casimages.com/img/2021/07/17/210717062109845112.jpghttps://nsa40.casimages.com/img/2021/07/17/21071706193515867.jpg

    Vera Reynolds

    https://ilarge.lisimg.com/image/6709553/740full-gwen-lee.jpg

    Gwen Lee


    2 commentaires
  • Une Étrangère Dans La Ville (1955) VO+StFR HDRiP - Mervyn LeRoy

    https://lh3.googleusercontent.com/proxy/Qy7-VOV_8YFlqLUr263K-D-wW0WZpAnjRbgxJKVHxQYi_9CEPewERhFk5Do03QdpKlj0wBnMWsj3wnm3y4UotS3CCJV15g9D7r7V7mnyHpOMJHshttps://nsa40.casimages.com/img/2021/07/17/210717032802397008.jpg https://media.senscritique.com/media/000017669663/source_big/Une_etrangere_dans_la_ville.jpg

    information_film.png

     Titre original : Strange Lady In Town
    Réalisé par : Mervyn LeRoy

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/17/210717032925384037.png
    Studios de production : Warner Bros Pictures. First National Pictures. The Vitaphone Corporation
    Lieu de tournage : Old Tucson Studios, Tucson, Arizona
    Durée : 1 h 52 min
    Pays : Drapeau des États-Unis États-Unis
    Genres : Western, Comédie dramatique
    Sortie le : Drapeau des États-Unis 12 avril 1955, Drapeau de la France 25 novembre 1955
    Avec : Greer Garson, Dana Andrews, Cameron Mitchell, Lois Smith.

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/17/210717032724889919.png

    https://www.notrecinema.com/

    https://www.imdb.com/

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/17/210717033138568559.jpg

    synopsis.png

    https://media.senscritique.com/media/000017669662/1200/Une_etrangere_dans_la_ville.jpghttps://nsa40.casimages.com/img/2021/07/17/210717033242358673.jpg

     Le docteur Julia Winslow Garth quitte Boston pour une nouvelle vie dans l'Ouest et s'installe près de Santa Fe en 1880. Elle arrive avec des innovations comme le stéthoscope et les antibiotiques.

    1880 au Nouveau Mexique. Des Cow-boys voient arriver, étonnés, au milieu de leur campement, une superbe femme rousse très élégamment vêtue. Il s'agit de Julia Garth (Greer Garson) qui, en provenance de Boston, vient exercer sa profession de médecin dans la région. Sa diligence s'étant renversée, elle est venue leur demander de l'aide. Fatiguée de l'intolérance des hommes de l'Est envers les femmes, elle a décidé de s'installer à Santa Fe pour changer de vie surtout qu'elle a de la famille dans le coin, en l’occurrence son frère David (Cameron Mitchell), lieutenant dans la cavalerie. Elle trouve à se loger près d'une mission tenue par le père Gabriel Mendoza (Walter Hampden). Par son efficacité (elle réussit à soigner les yeux d'un enfant quasi aveugle), son charme et sa gentillesse, elle obtient assez vite du succès auprès des pauvres gens. Cela rend jaloux Rork O'Brien (Dana Andrews), le médecin de la contrée, qui l'accuse de lui soutirer tous ses clients. Julia n'est pas étonnée par ce fait, ayant été précédemment mise en garde de la rudesse et de la misogynie de cet homme par la fille de ce dernier (Lois Smith) qu'elle avait rencontré lors d'une de ses visites à son frère ; en effet, la jeune Spurs O'Brien aimerait bien se faire épouser de David qui va malheureusement suivre une mauvaise pente, se liguant avec des voleurs de chevaux. Avant de régler les problèmes de son frère et d'apaiser les conflits qu'elle a avec son principal rival en médecine, Julia en aura profité pour soigner quelques célébrités tels Billy the Kid ou le Général Lew Wallace. Sans elle, nous n'aurions ainsi jamais pu lire 'Ben-Hur'...

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/17/21071703331645142.jpg

    Critique

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/17/210717033355434673.jpg

    Nous n'aurons ensuite plus jamais l'occasion de rencontrer de nouveau le cinéaste au sein de ce parcours ; alors ne restons pas sur une mauvaise impression de Mervyn LeRoy et rappelons rapidement de quoi il était capable en dehors de nous avoir délivré un mauvais western. Ce fut quand même l'homme qui nous avait offert l'un des films les plus puissants du début des années 30, l'inoubliable Je suis un évadé (I was a Fugitive from a Chain Gang), l'un des plus célèbres films de gangsters avec Le Petit César (Little Caesar), l'une des meilleures et des plus grinçantes comédies musicales de la Warner avec Chercheuses d'or 1933 (Gold Diggers of 1933), l'un des films pré-code les plus réjouissants avec Three on a Match. Passé à la MGM en changeant totalement de ton et de style, il nous donnera encore de beaux moments de cinéma : le superbe mélo romantique La Valse dans l'Ombre (Waterloo Bridge) ou ce sommet du film familial cher au studio du lion : Les 4 Filles du Dr March (Little Women). Nous pourrions encore citer Ville haute, Ville Basse (East Side, West Side), superbe drame au casting quatre étoiles, La Première Sirène (Million Dollar Mermaid), l'un des meilleurs ‘musicals’ avec Esther Williams ou encore Quo Vadis, intéressant péplum ne serait-ce que pour la composition halluciné de Peter Ustinov. Bien évidemment, cette imposante filmographie ne contient pas que de bons films mais suffisamment pour que ce cinéaste ait sa place tout à fait méritée dans les annales de l'histoire du cinéma. C'est pour cette raison que nous n'allons pas nous appesantir trop longtemps sur ce pseudo-western, moralisateur et un peu niais.

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/17/210717033426551104.jpg

    Une femme qui se trouve être le protagoniste principal d'un western, ce n'était déjà pourtant pas banal même s’il y eut quelques célèbres antécédents (Johnny Guitar) ; les personnages de Julia (femme brillante ayant étudiée la médecine en Europe d’où elle ramène de nouvelles méthodes vues avec méfiance) et de Spurs (garçon manqué se moquant des réactions réactionnaires de son père) permettent aux auteurs de lancer des messages progressistes quant à la place de la femme dans la société ainsi que de vilipender la misogynie ambiante à l’époque et l’ignorance des ‘mâles’ quant aux capacités des femmes à exercer les mêmes professions qu’eux. Seulement, c'est souvent asséné sans nuances au sein de scènes intempestivement bavardes ou au contraire avec une trop grande légèreté (presque avec insignifiance), par l'intermédiaire de la rivalité/attirance gentillette entre Dana Andrews et Greeer Garson à la façon d'une comédie américaine, le spectateur sachant pertinemment qu'avant la fin du film, les deux adversaires se jetteront dans les bras l’un de l’autre. Au sein d’un scénario parfaitement prévisible, le pauvre Dana Andrews se voit obligé de déclarer sa flamme au cours d’une séquence ridicule où, assis derrière son piano, il fait sa demande en mariage en récitant un poème. Mais le scénariste Frank Butler (pourtant auteur du très beau Whispering Smith) fera encore plus gratiné dans la balourdise et la niaiserie avec la mort du prêtre ; il n'aurait plus manqué que les chœurs célestes pour en faire un monument de ringardise ! Quant au petit indien aveugle à la voix d’ange, nous ne sommes guère éloigné de Joselito. Il est clair qu’au milieu de tout ce salmigondis, les amateurs d’action se sentiront blasés d’autant que quant elle arrive, c’est à coups de vilaines transparences comme lors de la ‘course’ de buggy.

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/17/210717033604174387.jpg

    Le film aurait pu éventuellement donner lieu à une chronique villageoise à la façon de Stars in my Crown de Jacques Tourneur mais ce n’est même pas réussi à ce niveau non plus, les auteurs ayant surtout centré leur histoire sur Greer Garson qui, impassible, passe tous les obstacles avec un calme olympien au travers d’une suite de séquences s’éternisant plus que de coutume. L’actrice est loin d’être mauvaise mais ce que le scénariste donne à faire à son personnage (proche de celui Marie Curie déjà interprété par l’actrice) ne s'avère guère captivant. Et puis, la Warner, fidèle à 'son style westernien', ne peut s’empêcher d’injecter à l’ensemble un humour balourd (avec notamment l’insupportable comédien Gonzalez Gonzalez) rendu encore plus indisgeste par les traits appuyés de la musique de Dimitri Tiomkin qui, hormis la chanson du générique chantée par Frankie Laine, ne restera pas dans les annales elle non plus. Bondieuserie et leçons de morale à gogo : "courage fuyons" ; d’autant que plastiquement, le film est loin d’être mémorable à l’image de l’utilisation ‘platounette’ du scope. Une actrice principale qui fait ce qu’elle peut face au reste d'un casting bien terne et quelques situations intéressantes pour un western dans l’ensemble plutôt mauvais, en tout cas tout à fait dispensable hormis pour ceux qui feraient une thèse sur le féminisme au cinéma. Pour l’anecdote, c’est grâce à l’hospitalisation de Greer Garson pendant le tournage que Mervyn LeRoy a pu aller remplacer John Ford (hospitalisé lui aussi) sur celui de Permission jusqu’à l’aube (Mister Roberts).

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/17/210717035052591797.jpg

    information_upload.png

    Hébergeur : Uptobox
    Qualité : HDRiP
    Type : mkv
    Langue :
    Drapeau des États-Unis Anglais
    Sous-titres :
    Drapeau de la France Français
    Taille : 1.28 GB

    information_download.png

    https://uptobox.com/lhwgc613q6mg

    Une exclusivité signée : Renaud

    https://pbs.twimg.com/media/ESYKy32U4AAKMmX.jpghttps://imgc.artprintimages.com/img/print/greer-garson_u-l-q1c35b70.jpg?h=550&p=0&w=550https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/17/210717034214445282.jpghttps://list.lisimg.com/image/1626053/500full.jpg

    Greer Garson


    5 commentaires
  • Les Sensuels (1957) VOStFR tvRiP - Martin RITT

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/16/21071608570712931.jpg https://media.senscritique.com/media/000017891820/source_big/Les_Sensuels.jpg

    - British Academy Film Award de la meilleure actrice étrangère (Joanne Woodward).
    - British Academy Film Award du meilleur film (1957).

    information_film.png

    Titre original : No Down Payment
    Titre secondaire : L'Homme d'en face/Rubis sur l'ongle
    Film de : Martin Ritt

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/16/210716085631762727.png
    Distribué par : 20th Century Fox   
    Durée : 1 h 45 min
    Genre : Drame
    Date de sortie : Drapeau des États-Unis 7 février 1958, Drapeau de la France 30 octobre 1957
    Pays d'origine : Drapeau des États-Unis États-Unis
    Avec : Joanne Woodward, Sheree North, Tony Randall, Jeffrey Hunter, Cameron Mitchell, Patricia Owens, Barbara Rush, Pat Hingle
     https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/16/210716090104309511.png

    https://www.notrecinema.com
    https://www.imdb.com

    synopsis.png

    https://media.senscritique.com/media/000018840318/960/Les_Sensuels.jpg

     À travers l'histoire de quatre couples se dessine une peinture satirique de la vie américaine.

    Dans une banlieue riche de Los Angeles sur la côte pacifique, David Martin, un jeune ingénieur, et Jeanne, sa superbe épouse, achètent à crédit une maison très chic. Leurs nouveaux voisins, Herm et Betty Kreitzer, les convient à une petite fête où ils y font la connaissance de deux autres couples : Leola et Troy Boone, ainsi que Isabelle et Jerry Flagg. Les trois hommes sont bien différents... Herm, quincaillier aisé, a une bonne réputation ; Jerry, vendeur de voitures d'occasion et alcoolique instable, est un fin coureur de jupons ; tandis que Troy, l'aimable pompiste de la ville, conserve de la guerre un penchant pour la violence et souhaite que Herm use de ses appuis pour qu'il devienne chef de police...

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/16/210716092436441207.jpg

    Critique

    La seule véritable chose que l'on puisse déplorer dans ce film, c'est cet aspect soap opera dont il n'arrive hélàs pas à se dégager tout au long de son déroulement. C'est d'autant plus dommage car on sent que Martin Ritt est totalement à l'aise pour raconter avec minutie et réalisme la vie d'américain de la middle class. L'interprétation est remarquable en particulier pour Joanne Woodward et Tony Randall qui arrivent à rendre pleinement la complexité de leur personnage. Pas indispensable mais l'ensemble est honnête.

    Autour du film

    Robert Stack s’est vu offrir le rôle de Troy Boone mais l’a refusé parce qu’il n’aimait pas le personnage

    https://nsa40.casimages.com/img/2021/07/16/210716092622512164.jpg

    information_upload.png

    Hébergeur : Uptobox
    Qualité : tvRiP
    Type : mp4
    Langue :
    Drapeau des États-Unis Anglais
    Sous-titres :
    Drapeau de la France Français
    Taille : 1.28 GB

    information_download.png

    https://uptobox.com/xpqldptuy3i7

    Une exclusivité signée : Gilles

     https://cdn10.bigcommerce.com/s-o6vy9cv/products/166891/images/162327/107894__70301.1616070206.1280.1280.jpg?c=2https://1.bp.blogspot.com/-P14_5LrGkqM/X1S_nOGoHeI/AAAAAAAAi9k/mKJrgbwdvAw-6sG_UVlJYfpNWq7E_QnSgCLcBGAsYHQ/s1000/Joanne%2BWoodward%2Bin%2BThe%2BStripper%2B%25281963%2529.jpghttps://iv1.lisimg.com/image/5300542/594full-joanne-woodward.jpghttps://i.pinimg.com/originals/de/52/5d/de525dd265f5708eb24ba35305269b35.jpghttps://nsa40.casimages.com/img/2021/07/16/210716091936162872.jpg

    Joanne WOODWARD


    1 commentaire