• Djamila l'Algérienne (1958) VOStFR - Youssef Chahine

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    http://img.over-blog-kiwi.com/1/04/60/62/20170512/ob_88f7bf_djamilah-1.jpg



      Réalisé par : Youssef Chahine
    Année : 1958
    Durée : 1h58

     Avec : Magda, Ahmed Mazhar, Zahret el-3Ola, Salah Zhulfikarr
     

     
    Un portrait de Djamila Bouhired, militante du FLN,
    par le très grand réalisateur égyptien Youssef Chahine.


    Née dans une famille de classe moyenne d'un père algérien et d'une mère tunisienne, elle est scolarisée à l'école française. Elle rejoint le Front de libération nationale durant ses années étudiantes. Elle travaillera plus tard comme officier de liaison, membre du « réseau bombes » et assistante personnelle de Yacef Saadi, chef de la Zone Autonome d'Alger pendant la bataille d'Alger. Elle dépose, le 30 septembre 1956, une bombe qui n'explose pas dans le hall du Maurétania. Elle recrute Djamila Bouazza qui, elle, déposa le 26 janvier suivant dans le cadre d'une vague d'attentats une bombe très meurtrière au café Coq Hardi.
    En avril 1957, elle est blessée dans une fusillade et capturée par la 4e compagnie du 9e régiment de Zouaves (cantonnée dans le palais Klein Basse Casbah). Elle est soupçonnée d'être une militante de la cause algérienne, inculpée et condamnée à mort. Son exécution est stoppée par une campagne médiatique menée par Jacques Vergès et Georges Arnaud. Ils écrivent un manifeste, Pour Djamila Bouhired, publié la même année aux Éditions de Minuit. C'est, avec La Question d'Henri Alleg, l'un des manifestes qui alerteront l'opinion publique sur les mauvais traitements et les tortures infligées par l'armée aux combattants algériens. Devant le tollé international soulevé par sa condamnation, elle est finalement graciée et libérée en 1962.


    http://www.kuwait-history.net/vb/up/uploads/23643884420090307.jpg


    Pour réaliser ce film, Youssef Chahine se rendra en Algérie en pleine guerre d'indépendance pour rencontrer Djamila Bouhired, mais il n'y parviendra pas.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Djamila_Bouhired


    De gauche à droite : Samia Lakhdari, Zohra Drif, Djamila Bouhired, Hassiba Bent-Bouali. (Les poseuses de bombes) ... Tahya Djazaïr !

    La qualité n'est pas trop top, mais impossible de trouver mieux !

    Lien de téléchargement

    https://1fichier.com/?83et3zxrxk&af=62851


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  • معركة الجزائر  La Bataille d'Alger (1966) - VOStFR, Gillo Pontecorvo


    https://media.senscritique.com/media/000019000789/source_big/La_Bataille_d_Alger.jpghttps://www.dvdfr.com/images/dvd/covers/200x280/187c0b515f190e2f8505cc5b32e85fa5/168757/3d-bataille_d_alger_combo_br.0.jpg


    Réalisé par : Gillo Pontecorvo
    Musique : Ennio Morricone et Gillo Pontecorvo, Jean Sébastien Bach
    Scénario : Franco Solinas d'après un livre de Yacef Saadi
    Année : 1966
    Durée : 1h56
    Pays : Italie , Algérie
     

    Avec :   
    Brahim Haggiag : Ali la Pointe
    Jean Martin : le colonel Mathieu
    Yacef Saadi : Djafar, le chef de la Zone autonome d'Alger, (où il joue son propre rôle)
    Latafi Ahmed : Petit Omar
    Larbi Zekkal : un combattant du FLN
    Samia Kerbash : une des filles du réseau bombes
    Ugo Paletti : le capitaine des parachutistes français
    Faouzia El Kader : Halima, l'une des filles du réseau bombes

    https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Bataille_d'Alger

     


    Le film retrace l'histoire d'Ali la Pointe lors de la "Bataille d'Alger", et donc de la lutte pour le contrôle du quartier de la Casbah d'Alger en 1957 entre les militants du FLN et les parachutistes français décidés à "pacifier" le secteur par tous les moyens, y compris l'usage de la torture...

    Malgré un Lion d'Or à Venise, un prix de la Critique à Cannes et trois nominations aux Oscars, La Bataille d'Alger, interdit de diffusion en salles, doit attendre 1971 pour obtenir son visa d'exploitation en France. Mais à la suite de pressions et de menaces, il est très vite retiré des écrans.


    En super qualité...

    A (re) voir absolument !!!
     

     

    Lien de téléchargement

    https://uptobox.com/9fcdy2t5ygs0


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  • Police Magnum - Kill ! (1971) VF - Romain Gary



    Titre VF KILL
    Titre VO
    Autres titres VF POLICE MAGNUM
    Année de réalisation 1971
    Nationalité France / Allemagne / Espagne
    Durée 1h42
    Genre DRAME
    Notation 6
    Date de sortie en France 19/01/1972
    Thème(s)
    Drogue -trafic- (Cinéma français)
    Gary (Romain)
    Réalisateur(s)
    GARY Romain
    Chef(s) Opérateur(s)
    RICHARD Edmond
    Musique
    PISANO Berto
    Renseignements complémentaires
    Scénario : Romain Gary
    Distribution : Cocinor

    Nota : le film a comme particularité de se terminer sur le mot : "Début" .....
    Acteurs
    SEBERG Jean
    MASON James
    BOYD Stephen
    JURGENS Curd
    EMILFORK Daniel
    PARENTI Mauro
    GARCIN Henri
    CAFFAREL José Maria
    MONTOYA Carlos
    ISRAEL Victor
    SAMBRELL Aldo
    SLIM Memphis
    PIGOZZI Luciano
    GARCIA Tito
    SANTIS Richard
    CYRUS Tony
    RUEPRECHT Albert
    HUERTA Cris
    WILSON Simon
    DE CANONGE Maurice
    ROBKE Willy
    LETRONG Ly
    NIEL Dominique
    FANTASIA Franco
    DE SIMONE Agostino
    JULIENNE Rémy
    DAVIS Walter (2)
    Résumé
    Emily Hamilton, la jeune épouse d'un important fonctionnaire de police, vient d'être enlevée par de mystérieux autochtones. (Nous sommes dans un vague état du Moyen-Orient.) La belle créature est délivrée par un ardent justicier solitaire qui a mis son existence au service de la lutte contre les trafiquants de drogue. Rapidement un torride sentiment naît entre les deux protagonistes, avivé par le fait que l'époux d’Émilie fait partie en fait de la méchante bande de truands...

    >>> Romain Gary est loin de posséder une quelconque maîtrise cinématographique...



    http://www.notrecinema.com/
    https://www.imdb.com/


    LIEN

    https://uptobox.com/pvtrikpuhmu0

    Une exclusivité signée : Jean-Michel


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  • Rachida (2002) VOStFR DVDRiP - Yamina Bachir-Chouikh
              
     https://www.zupimages.net/up/22/08/nnac.jpg
              
    Titre original : Rachida
    Durée : 1 h 40 min          
    Genre : Drame
    Année de production : 2002
    Pays d'origine : Algérie, France   
         
     
    SYNOPSIS

    Un jour banal à Alger. Une jeune femme en sang gît sur le bitume. Elle s'appelle Rachida, elle est institutrice. Un de ses anciens élèves vient, sous la menace, de lui demander un « service » : poser une bombe à l'école. Elle s'est cabrée : « Non, pas les enfants ! » Le prix de son refus : une balle dans le ventre. Rachida s'en sort. On a guéri son corps, « mais pas la blessure dans sa tête ». Traumatisée, elle se réfugie dans un bled de montagne avec sa mère, tente de reprendre une vie normale. Mais la peur et la violence sont partout. Les terroristes font de fréquentes incursions au village, vandalisent un café, tuent un vieillard, enlèvent et violent une jeune fille...
    Comment vivre, quand il n'est question chaque jour, chaque nuit que de survivre ? Maquisards islamistes, milices armées de tous bords, escadrons de la mort : depuis 1992 et l'annulation des élections remportées par le FIS (Front islamique du salut), on parle de plus de cent mille morts et de dix mille disparus.
    Yamina Bachir-Chouikh a choisi d'explorer la tragédie quotidienne d'un pays tout entier, à l'échelle d'une communauté villageoise, à l'aune des individus. Avec une minutieuse sensibilité, un réalisme frémissant, elle donne chair à la douleur. Une jeune fille meurtrie, hagarde, à demi dénudée, vient d'échapper à ses tortionnaires. Elle erre comme un fantôme dans les rues du village. Une à une, les femmes s'approchent, ôtent leurs voiles multicolores pour la couvrir. Cette scène magnifique, sobre et poignante est, à l'image du film, d'une grande délicatesse. La réalisatrice filme la vie qui résiste malgré tout au coeur même de l'enfer. La lumière pure et transparente, la douceur des nuits, l'odeur d'un figuier. Les rires des femmes, leur beauté solaire, leur sensualité, leur courage, leur solidarité.
    En montrant aussi les portes fermées, les tombes fraîches, elle nous met en prise directe avec la peur et le deuil, loin de toute représentation spectaculaire de la violence. Elle préfère filmer la mort en creux, dans les yeux terrifiés et les tremblements convulsifs de Rachida, qui se cache, un enfant dans les bras, pendant une descente nocturne meurtrière des terroristes.
    Si elle s'attache longuement, tendrement à ses personnages, Rachida volontaire et blessée, sa mère douce et forte (Ibtissem Djouadi et Bahia Rachedi, toutes deux exceptionnelles), elle leur insuffle aussi sa révolte. Contre la sauvagerie de la guerre civile, mais aussi contre la domination brutale des mâles ordinaires : celui-ci veut marier sa fille à un homme qu'elle n'aime pas, celui-là répudie la sienne, « déshonorée » par le viol qu'elle a subi. Aux antipodes du film dossier, cette chronique d'une palpitante justesse s'achève sur une note d'espoir. Un espoir chancelant, meurtri, minuscule, qui concentre pourtant toute la foi humaniste d'une femme qui, à l'image de son héroïne, continue, dans le désordre et le sang, de faire œuvre nécessaire -   
     
       https://www.zupimages.net/up/22/08/1erk.jpg
      
    LIENS

    https://uptobox.com/edwi00fo4ghv

    Un partage de : Ray45

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  • L'Agent invisible contre la Gestapo (1942) VF - MARIN Edwin L 

    http://fr.web.img6.acsta.net/medias/nmedia/18/95/60/98/20418900.jpg

    Titre VF : L'AGENT INVISIBLE CONTRE LA GESTAPO
    Titre VO : Invisible agent
    Autres titres VF : AGENT INVISIBLE
    Autres titres VF : L'HOMME INVISIBLE CONTRE LA GESTAPO
    Année de réalisation : 1942    
    Nationalité : États-Unis
    Durée : 1h21
    Genre : FANTASTIQUE
    Notation : 6
    Date de sortie en France : 14/12/1949

    Avec : HALL Jon , MASSEY Ilona, LORRE Peter, HARDWICKE Cedric, LITEL John, BROMBERG Edward J., LUKE Keye, BASSERMANN Albert

     

    Frank Raymond, alias Frank Griffin, est le petit-fils de l'Homme Invisible. Il travaille paisiblement dans une imprimerie new-yorkaise. Et voilà que font irruption dans son tranquille quotidien, un espion nazi, Conrad Stauffer et un comparse japonais, Baron Ikito qui espèrent lui dérober la fameuse formule. Il parvient à leur échapper et décide de travailler désormais pour les Alliés en acceptant de se faire parachuter à Berlin pour récupérer une liste d'agents allemands planqués sur le territoire des States...

     
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    Une trouvaille signée : Chems

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  • Une prière avant l'aube (2018) French BDRiP  XviD      
     



    Année de production : 20 juin 2018
    Genre : Thriller
    Qualité : BDRiP 
    Langue : Français
    Durée : 1h 57min
    Réalisateur : Jean-Stéphane Sauvaire
    Avec : Joe Cole, Somluck Kamsing, Panya Yimmumphai
     

    L’histoire vraie de Billy Moore, jeune boxeur anglais incarcéré dans une prison en Thaïlande pour détention de drogue. Dans cet enfer, il est rapidement confronté à la violence des gangs et n’a plus que deux choix : mourir ou survivre. Lorsque l’administration pénitentiaire l'autorise à participer à des tournois de Muay-Thai, Billy donne tout ce qui lui reste.   
     
     

    https://1fichier.com/?i2j9yukovbmjmlofoulv

    https://uptobox.com/n32zvuvw3lws


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  • Belle of the Yukon (1944) VOStFR DVDRiP XviD
     
     
     
    Le film a été nommé pour l'Oscar de la meilleure musique de film (pour Arthur Lange) et pour l'Oscar de la meilleure chanson originale lors de la cérémonie des Oscars 1946 pour la chanson Sleighride in July (musique : James Van Heusen ; paroles : Johnny Burke).
     

     
     
     
    Synopsis
     


    L'histoire
     
    « On dirait que je suis entouré d’escrocs » déclare un protagoniste à un moment donné vers la fin du film. Quelle perspicacité : il ne croit pas si bien dire mais il lui en aura fallu du temps pour s’en rendre compte ! L’histoire se déroule dans le Klondyke au temps de la ruée vers l’or. Randolph Scott interprète John Calhoun, un tenancier de saloon que l’on prend pour le plus honnête homme de la ville au point de le nommer banquier du jour au lendemain mais qui ne se révèle être en fin de compte qu’un fieffé menteur et aigrefin tout comme la plupart de ses concitoyens. Son ancienne maîtresse, la meneuse de revue surnommée ‘Belle of the Yukon’ (Gypsy Rose Lee), essaiera de le faire revenir non sans mal sur le droit chemin…

    Analyse et critique
     
    Un petit film totalement oublié, hybride de western, comédie et 'Musical' dont une voix off nous prévient gentiment d'emblée que les amateurs de films d'action ne devraient pas retrouver leurs marques : "Si c'est le sang et le froid que vous recherchez, et l'appel des nuits du Klondike ; si c'est la boue et l'or que vous recherchez... vous êtes dans la mauvaise salle l'ami !" Et en effet nulle violence ni trace d'une quelconque noirceur dans cette gentille comédie musicale westernienne joyeusement amorale.


    Il serait bien difficile de résumer le scénario de cette pochade sans prétention dans laquelle chacun cherche à se duper pour s’approprier l’or de la banque, du shérif au banquier lui même, du pianiste à la jeune première. Randolph Scott, dans un rôle à peu près identique à celui qu’il tenait aux côtés de John Wayne et Marlène Dietrich dans Les Écumeurs  (The Spoilers) de Ray Enright, se trouve être encore très à l'aise dans le registre de la comédie et ceux qui pensent encore qu’il n’a interprété que les cow-boys laconiques devraient à l’occasion pouvoir réviser leur jugement. Car contrairement au film précédent qui était pourtant déjà un divertissement assez léger, ici aucun élément sérieux ne vient s'introduire dans ce qui n'est que pure comédie.


    On y trouve quelques morceaux musicaux (quatre exactement) pour justifier la présence de Gypsy Rose Lee et Dinah Shore dont une superbe chanson de Jimmy Van Heusen et Johnny Burke, Like Someone in Love (à signaler quand même que la musique a été nominée aux Oscars), un joli Technicolor bariolé par Ray Rennahan (celui qui avait fait des prouesses pour John Ford et son Drums Along the Mohawk), pour un tout ne cassant pas trois pattes à un canard mais néanmoins très plaisant à regarder car jovialement immoral et comportant des punchlines assez drôles sans néanmoins aller jusqu’à les juger spirituelles (Randolph Scott : « Il y a une épidémie de sentimentalité dans le coin. » Gypsy Rose Lee : « Ne t’inquiètes pas, tu es immunisé » ; Gypsy Rose Lee à Randolph Scott : « Le jour où tu seras platonique, les loups seront végétariens »...). A noter aussi une déclaration d’amour plutôt cocasse au cours de laquelle les deux tourtereaux, sous couvert de dialogues à forte teneur en mièvre sentimentalité, font le contraire de ce qu’ils se disent et tombent dans les bras l’un de l’autre sans demander leur reste.


    En tant que scénariste, James Edwart Grant fera bien mieux par la suite (on y reviendra) mais son histoire a le mérite de ne pas se prendre au sérieux une seule seconde. Proche de la "Screwball Comedy" dans le ton mais non dénuée de lourdeurs et mollement filmée par l’ancien Keystone Cops de Mack Sennett, William Seiter qui s’était déjà illustré dans le genre avec le pénible Premier Rebelle (Allegheny Uprising) en 1939. La même année que Belle of The Yukon, il réalisera une comédie musicale dédiée à l’effort de guerre, l’amusant et bougrement sympathique Four Jills in a Jeep.


    Une curiosité loin d’être marquante mais franchement pas désagréable et notamment grâce à son casting. Aux côtés de Randolph Scott, outre les deux comédiennes déjà citées (Dinah Shore chante merveilleusement bien à défaut d’être une bonne actrice), on trouve Charles Winninger (Destry Rides Again) et surtout l’habituel compagnon d’Errol Flynn au cours de ses films à la Warner, l’amusant Guinn ‘Big Boy’ Williams, ici dans la peau du shérif benêt qui croira au final avoir dupé tout le monde. Un final au son d’un French Cancan qui termine ce tout petit film aussi joyeusement qu’il avait débuté. Pas de quoi se relever la nuit mais un bon moment à passer. Il n'est pas inutile de rappeler qu'hormis le décor, l'époque et les costumes, on trouvera plus d'éléments de comédie et comédie musicale que de western. A déconseiller donc à certains, ceux qui auraient voulu des grands espaces (quasiment aucun extérieurs) et du mouvement.


    https://uptobox.com/fi2ecuvydxyf

    Une version exclusive signée : Chems

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  • Les Rivages De Tripoli (1942) VOStFR DVDRiP x264 AC3 
     
     
     

     
     
     

     
    Un jeune américain orgueilleux rejoint le corps des Marines sur les instances de son père, capitaine en retraite. Il fait la rencontre d'une jeune femme qu'il veut séduire sans savoir que c'est la nièce du major...
    Il met à l'épreuve les compétences et la patience d'un rigoureux sergent vétéran, qui essaie de faire de lui un véritable Marine.
     
     
     

     
    Hébergeur : Uptobox
    Fichier : mkv
    Langue : Anglais   
    Sous-titres : Français   
    Taille : (1,47 GB)   

     
     
     
    Une exclusivité signée : Chems
     

      

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  • LE MOINEAU (Al-asfour) 1974 VOStFR - Youssef Chahine 
     
     
     
     
     
    Avec : Sid Ali Kouiret, Salah Qabil, Ali El Sherif, Mahmoud Almeleji, Meriem Fakhreddine. 
    Réalisé par : Youssef Chahine 
     

     
    https://www.trigon-film.org/
    https://www.avoir-alire.com/
    https://www.imdb.com/

    Synopsis

    Yussif Fath el-Bab, journaliste issu de la classe bourgeoise, mène une enquête sur les activités d'Abou Kheidr, bandit de grand chemin. Il apparaît qu'Abou Kheidr bénéficie de complicités venues des hautes sphères de la classe dirigeante. Rawf, jeune capitaine, est envoyé en mission dans le sud pour mettre fin au règne féodal du puissant bandit. Son jeune frère Ryad est affecté aux frontières du Sinaï.

    Abou Kheidr défie l'autorité gouvernementale, jusqu'au jour où le préfet Ismail, le père de Rawf, se déplace en personne pour diriger l'opération. Abou Kheidr est tué.

    De retour au Caire, Rawf vient loger chez Bahiya, une amie de Yussif. Ses amis, parmi lesquels le Sheikh Ahmad et sa fille Fatma, découvrent la vérité au sujet des mystérieuses protections politiques dont jouissait le bandit. Quelques hauts fonctionnaires organisaient un trafic de pièces d'usine, volées par Abou et revendues à cette même usine.

    La Guerre des Six Jours éclate. Le peuple, trompé par la propagande officielle, apprend la défaite avec stupeur. Après une longue attente, Nasser annonce à la radio sa démission. Le peuple descend dans la rue. Nasser saura transformer la défaite militaire en victoire personnelle.





     

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