Le tombeau est le port où nous arrivons tous après une navigation plus ou moins orageuse.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Adobe Acrobat Pro DC 2021 (v21.001.20145) x86
Éditeur(s) : Adobe Acrobat
Os du logiciel : Windows 7,8,10
Compatibilité (Xp / Vista / etc..) :
Version actuelle : (v21.001.20145) x86
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Langue : Français
Nombre de répertoires : 1
Taille totale : 962.45 MB
Configuration minimale :
Plateforme : Windows x86 & amd64
Configuration logicielle minimum : Windows 7
Configuration matérielle minimum : PC compatible x86, amd64
Installation :
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Le Nouveau Testament (1936) TrueFrench HDLight 1080p x264
Origine : France
Réalisateur : Sacha Guitry, Alexandre Ryder
Acteurs : Sacha Guitry, Jacqueline Delubac, Christian Gérard, Betty Daussmond, Charles Dechamps, Pauline Carton
Genre : Comédie
Durée : 1h 40min
Date de sortie :
Année de production : 1936
Titre Original : Le Nouveau Testament
Note spectateurs :
https://www.cinema-francais.fr/
Le docteur Marcellin ayant croisé en taxi sa femme en galante compagnie, va remettre en cause le confort bourgeois de sa vie, mais le nouveau testament qu'il comptait envoyer à son notaire tombe entre les mains de Madame et de ses meilleurs amis. Commence alors un jeu de cache cache échevelé entre arroseurs arrosés.
Critique
Sacha Guitry et Jacqueline Delubac
Un docteur cocu laisse par mégarde son veston chez son tailleur. Ce dernier le ramène au domicile du praticien en l'absence de celui-ci alors que son infidèle épouse, un de ses collègues, l'épouse de dernier ainsi que son fils, qui se révèle être l'amant de Madame attendent pour dîner. Ces derniers, le croyant mort, ne se gênent pas pour fouiller dans le vêtement du "défunt" y trouvant un testament disant que le principal concerné sait qu'il est cocu, qu'il a fait cocu son collègue et qu'il a une fille cachée, qui peut être sa nouvelle et séduisante secrétaire ou alors une fille qu'il a eue avec cette dernière...
Une mise en scène théâtrale du Maître pour une adaptation d'une de ses pièces, si on excepte deux petites sorties dans les rues de Paris, donc basée sur les interprétations des acteurs et surtout sur les dialogues, véritable festival puisqu'on est chez Guitry tout de même, où la bourgeoisie et son hypocrisie s'en prennent un peu plein la tronche.
Même si l'aspect bavard rend le tout un peu trop statique, les interprétations de Guitry et de sa troisième épouse Jacqueline Delubac rendent l'ensemble très agréable à regarder. On signalera aussi un excellent personnage de valet particulièrement pipelette.
Si l’on excepte Pasteur, hagiographie du scientifique, et Bonne chance, Le nouveau testament est la première réalisation de Sacha Guitry, sans doute une de celles où l’auteur dramatique conçoit que ce nouvel Art, un peu méprisé à ses débuts, paraissant ennuyeuse copie en conserve du royal théâtre peut, grâce à l’abolition des conventions et des artifices de la scène devenir une œuvre absolument magique, qui plus est susceptible d’être reproduite à l’infini et enregistrée, mettant fin à l’éphémère de la représentation théâtrale.
Cela dit, Le nouveau testament, c’est encore largement du théâtre, comme Mon père avait raison, alors que, la même année 1936 (peut-on être plus généreusement prolifique !), Le roman d’un tricheur accumule les innovations et instaure pour toujours le grand style Guitry. Mais ce théâtre filmé, issu d’une pièce écrite par lui, Guitry le tire déjà vers autre chose : quelques extérieurs, bien sûr, avec, déjà le sens de l’espace, mais aussi, et surtout la qualité du montage, les gros plans sur les physionomies, le rythme sans faille et sans temps mort des dialogues…
En d’autres termes, tout est en germe de ce que va être l’éblouissant Âge d’or qui va suivre (selon l’excellent titre du gros coffret qui vient d’être édité) : prémisses des génériques enchanteurs et si drôles (et tout autant si respectueux du travail des techniciens, si anonymes dans les films de l’époque), chatoiement des mots d’esprit, survenue des acteurs récurrents (Pauline Carton, déjà irrésistible), emploi de la dame de cœur du moment – et, avant-guerre, c’est Jacqueline Delubac, sans doute la plus ravissante, la plus gracieuse des cinq épouses (légitimes) du Maître – , tournage dans le milieu de la grande bourgeoisie parisienne (précieuses indications sur ce que pouvait être un intérieur des beaux quartiers de l’époque…).
Ce qui n’est pas tout à fait satisfaisant, dans ce Nouveau testament, c’est, précisément, ce qui demeure du théâtre : l’intrigue, amusante, mais très classiquement graveleuse, dans la grande tradition du Boulevard et du vaudeville, nourrie de cocuages multiples et de procédés rebattus, mais surtout la distribution : le générique le dit, les principaux rôles sont tenus par les acteurs de la distribution théâtrale, et ils ne sont pas très brillants, au cinéma.
Par exemple, une mention spéciale pour Betty Dausmond, qui joue Lucie Marcelin, la femme – trompée – de Guitry, mais qui le trompe aussi avec le fils d’un couple ami : cette pauvre femme est si laide, si dépourvue du moindre charme que son aventure avec un jeune homme de trente ans son cadet paraît impossible ; ce qui pouvait passer au théâtre, où l’éloignement de la scène couvre bien des insuffisances physiques, ne fonctionne plus au cinéma…
Délicieux mots d’auteur, et très charmantes scènes de vraie rosserie qui raviront tous les amateurs de cet esprit un peu cruel, jamais vraiment méchant : ainsi le dialogue entre Lucie (Betty Dausmond, donc) et la gracieuse Juliette Lecourtois (Jacqueline Delubac) nouvelle secrétaire introduite au foyer par le docteur Marcelin (Guitry), scène où l’animosité entre les deux femmes atteint un pinacle : "J’ai trouvé, Mademoiselle, que vous aviez l’air d’une fille !" vacherie qui s’attire un évident : "Que voulez-vous, Madame, tout le monde ne peut avoir l’air d’une mère !"… Ou encore, dans la réponse que le Docteur fait à un de ses confrères qui lui a envoyé une cliente en consultation : "Votre cliente me fait l’effet d’une femme qui est en train de mal se conduire, ce qui est immoral, pas davantage, mais qui voudrait, en outre, empêcher son mari d’en faire autant, ce qui est inhumain !"
Tout le Guitry qu’on aime, en somme…
Certains s’inquiètent de la qualité technique de cette exhumation de films qui datent maintenant de plus de soixante-dix ans… que dire ? Le son m’a semblé excellent, les images, quelquefois un peu surexposées (mais rarement) sont fort nettes, exemptes de griffure (sauf une sorte de "fil" parasite, durant une dizaine de minutes, qui n’est pas gênant).
Jacqueline Delubac
Qualité : HDLight 1080p
Format : mkv
Audio : True French en AAC 1.0 à 160 kbps
Sous-titre : Aucun
Vidéo : x264 à 1700 kbps
Nom de la release : Le Nouveau Testament 1936 1080p FR X264 AAC-mHDgz.mkv
Taille totale : 1290 Mo en 1 fichier(s)
https://uptobox.com/k29zo3y7svve
Pauline Carton
L'Or Noir De L'Oklahoma (1973) VF+ (VO+StFR) - Stanley Kramer
Titre original : Oklahoma Crude
Réalisation : Stanley Kramer
Musique : Henry Mancini
Société de production : Stanley Kramer Productions (États-Unis)
Sociétés de distribution : Columbia Pictures (États-Unis), Sony Pictures Television (France)
Pays d'origine : États-Unis
Genre : Comédie dramatique, Western
Durée : 1 h 48 min
Dates de sortie :
URSS juillet 1973 (Festival international du film de Moscou)
France 18 octobre 1973
Avec : George C. Scott, Faye Dunaway, John Mills, Jack Palance.
Dans l'Oklahoma, lors de la ruée sur « l'or noir » au début des années 1900, de grandes sociétés d’exploitation veulent acheter le terrain pétrolifère de Lena Doyle. Celle-ci, farouche féministe, avec l’aide de son père Cleon et de Mason, leur homme de main, engage une lutte sans merci contre les géants pétroliers pour sauvegarder sa propriété.
Critiques
1. Ce qui fait plaisir c'est que ce réalisateur ne sacrifie pas sa narration au détriment d'un discours profond.
Le scénario est aussi simple que bien construit. L'on retiendra surtout le travail des personnages, depuis Léna, jeune femme au passé trouble qui tente de s'affirmer dans ce monde macho, jusqu'au terrible Hellman qui porte très bien son nom puisqu'il s'avère être un sale fumier prêt à tout pour remplir son contrat. Et entre ces deux extrêmes, un père qui cherche la rédemption et un pauvre type qui va découvrir qu'avoir des convictions, ça peut faire mal, mais ça donne aussi un sens à la vie.
Le film comporte de très belles scènes et alterne les tons : tantôt plus dramatique, tantôt plus comique pour laisser place à un final un peu plus explosif. Le tout reste homogène, cohérent, logique. Je redoutais que l'on sombre dans le misérabilisme avec une telle héroïne, mais tr§ès vite, Kramer désamorce cette idée en amenant justement de l'humour, un vrai travail sur les personnages et les conflits qu'ils doivent endurer.
Visuellement, c'est très simplement filmé, comme un vieux western. Quelques plans plus travaillés, esthétiquement parlant, émergent de temps à autre, mais globalement, la caméra reste au service de l'histoire, sans chercher d'artifice visuel. Cela donne un rythme posé et de longs plans séquences durant lesquels les acteurs auront l'opportunité de montrer leur talent.
Bref, un film très divertissant et bien foutu.
2. « L’OR NOIR DE L’OKLAHOMA » est une fable amusante et pleine de verve, sur la folie de l’or, le dérisoire des obsessions humaines et le courage des « petites gens » face aux hommes d’argent. L’essentiel du film se
déroule sur quelques mètres carrés de désert, en haut d’une colline, autour d’un puits de pétrole appartenant à une femme seule et dure-à-cuire et convoité par une grosse compagnie.
L’intérêt principal vient de la qualité exceptionnelle de l’interprétation et d’un dialogue savoureux, souvent trivial. Ainsi le monologue de Faye Dunaway déclarant qu'elle aimerait faire partie d’un « troisième sexe », qui lui permettrait avec un organe de chaque genre, de se « baiser elle-même », est-il sidérant et anthologique ! Pas maquillée, le visage fermé, presque ingrat, l’œil froid et morne, l’actrice à total contremploi est très étonnante. Elle ne dévie pas d’un pouce de sa trajectoire, quitte à rendre son personnage opaque voire antipathique, mais c'était la voie à prendre. Elle est formidable. Face à elle, George C. Scott est infiniment attachant, maîtrisant
l’évolution de son personnage et son retour à la dignité avec un doigté impressionnant. Et le méchant-en-chef est incarné par un Jack Palance au sommet de sa forme. En ex-militaire devenu porte-flingue d’une grosse compagnie, il se balade en chapeau melon avec son gros chien noir, en mâchouillant d’énormes cigares. La scène où Scott lui urine sur le manteau en le tenant en joue avec son fusil, est un moment de grâce ! Quel face à face au sommet ! Deux grands acteurs, deux « tronches », réputés pour leur propension au cabotinage, ici parfaitement maîtres de leur art, d’une intensité magnifique.
Linéaire, simple, presque théâtral par moments, « L’OR NOIR DE L’OKLAHOMA » prend le temps sur presque deux heures, de développer ses thèmes, d’installer ses personnages, de les faire changer. La fin, très hustonienne, « ceuille » par son pessimisme et sa lucidité, mais l’arrêt sur image qui clôture le film nous laisse sur un sourire. Une jolie surprise, surtout de la part du si inégal Stanley Kramer.
Hébergeur : Uptobox
Qualité : DVDRiP
Fichiers : avi (VO+StFR) et mkv (VF)
Langue : Français , Anglais
Sous-Titres : Français
Tailles : 1.61 GB (VF) et 1.06 GB (VO+StFR)
VF : https://uptobox.com/kvuzeue3x9l1
VO + StFR : https://uptobox.com/qz649vqfgr9c
https://uptobox.com/n4alqb0b6396
Une exclusivité signée : Jean-Michel
Faye Dunaway
Scaramouche (1952) VOStFR - George SYDNEY
Titre original : Scaramouche
Genre : Aventure, cape et épée
Réalisation : George Sidney
Pays d'origine : États-Unis
Durée : 115 minutes
Sortie : 1952
Avec : Stewart Granger : André Moreau/Scaramouche, Janet Leigh : Aline de Gavrillac de Bourbon, Eleanor Parker : Léonore, Mel Ferrer : le marquis Noël de Maynes
France, 1789. Alors que le pays est à la veille de basculer dans la Révolution, Philippe de Valmorin, jeune poète et pamphlétaire, est tué en duel par le marquis de Maynes (Mel Ferrer). Son frère adoptif, André Moreau (Stewart Granger) décide de le venger. En attendant son heure, il se réfugie au sein d’une troupe ambulante qui interprète la pièce Scaramouche.
Amateurs de films de cape et d’épée, réjouissez-vous ! Voilà le joyau du genre enfin de retour sur grand écran. Technicolor flamboyant, cascades millimétrées, multiples rebondissements : après avoir adapté Dumas (Les trois mousquetaires, 1948), George Sidney s’attaque avec encore plus de bonheur à l’œuvre de Sabatini. Le réalisateur réussit un brillant exercice en mettant en application les méthodes de la comédie musicale, genre dans lequel il a débuté sa carrière à la MGM, en bon faiseur, rien de plus. Étonnement donc. Mais rendons-nous à l’évidence, ce Scaramouche lui a donné des ailes. Quel rythme, quelle fluidité !
Il faut dire qu’il est servi à ravir par un scénario futé, utilisant admirablement tous les stéréotypes du genre, regorgeant d’humour, mais qui est aussi une brillante variation sur les jeux de masques. Côté comédiens, ça déménage. Stewart Granger, en séduisant bretteur, n’a rien à envier à Douglas Fairbanks ou Errol Flynn, ses glorieux aînés. A ses côtés, Janet Leigh (celle qui plus tard mourra sous la douche dans Psychose) émeut par sa fragilité. En contrepoint, Eleanor Parker a la beauté qui convient aux femmes de tête. Mention spéciale à Mel Ferrer dans son rôle de méchant. Bref, un casting de rêve pour un film de pure distraction qui se termine par un duel de six minutes et vingt-trois secondes (en 126 plans), entré dans la légende hollywoodienne. Scaramouche, un des fleurons de la MGM qui brillait alors de tous ses feux puisque, cette même année 1952, Kelly et Donen y signaient Chantons sous la pluie. Nostalgie...
Hébergeur : Multiup.org
Qualité : DVDRiP
Fichier : mkv
Langue : Anglais
Sous-titres : Français
Taille : 1800 MiB
Street Justice (1991) VF tvRiP - 28/44 Épisodes
Titre original : Street Justice
Genre : Série policière
Création : David Levinson, Mark Lisson, David H. Balkan
Musique : Lawrence Shragge
Pays d'origine : États-Unis, Canada
Nb. de saisons : 2
Nb. d'épisodes : 44
Durée : 45 minutes
Diff. originale : 29 septembre 1991 – 29 mai 1993
Avec : Carl Weathers, Bryan Genesse, Eric McCormack
Durant la guerre du Vietnam, un marine, Adam Boudreaux, fait la connaissance du jeune Grady Jameson qui lui sauve la vie. Les parents de Grady, des missionnaires canadiens, meurent au cours d'une attaque des soldats vietnamiens. Boudreaux et Grady feront équipe durant dix mois avant que Adam quitte l'armée et Grady parte à l'aventure à travers le monde. Boudreaux devient policier à Vancouver en 1972 et perd la trace de Grady. Vingt ans plus tard, Boudreaux a retrouvé le jeune homme et le fait engager dans le bar qu'il possède avec Malloy, la fille de son ancien partenaire de la police décédé. Grady aide Boudreaux dans ses enquêtes grâce aux aptitudes martiales qu'il a acquis dans les rues.
Épisodes
Saison 1 (1991-1992)
1.Les retrouvailles - 1re partie (Legacy - Part 1)
2.Les retrouvailles - 2e partie (Legacy - Part 2)
3.Les mauvaises fréquentations (Loyalties)
4.Le martyr (Kid Stuff)
5.Les mauvaises causes (Tables Turned)
6.Ombres chinoises (Shadows)
7.Le sanctuaire (Sanctuary)
8.Le Groupe (The Group)
9.La Bavure (Friendly Fire)
10.Autodéfense (Self Defense)
11.Mon Frère (Bashing)
12.La Maison du cœur (Homecoming)
13.Droit de garde (Parenthood)
14.La Coéquipière (Partner in Crime)
15.Le Marché de la peur (Protectors)
16.La Grande Lessive (Backbeat)
17.Une dette d'honneur (Debt of Honor)
18.Donnant donnant (Bad Choices)
19.Le témoin silencieux (Eye Witness)
20.Dépression (The Long Way Home)
21.La Privée (Catcher)
22.Porté disparu (Missing)
Saison 2 (1992-1993)
1. Question de vie ou de mort (Death Warmed Over)
2.Le Cercle de la Mort (Circle of Death)
3.L'Indic (Cross Fire)
4.Les pieds d'argile (Feet of Clay)
5.Le Fils à papa (Each One, Teach One)
6. Tu perds rien pour attendre (Country Justice)
7.Aller et retour pour l'au-delà (Back from the Dead ... Again)
8.La guerre ouverte (Innocent Blood)
9.L'Ange de la mort (Angel of Death)
10.Le Revenant (Remember Me)
11.Noirs ou Bleus (Black or Blue)
12.Fruit amer (Bitter Fruit)
13.Le sens du devoir (A Sense of Duty)
14.L'Obsession (The Obsession)
15.Question d'honneur (Honor and Trust)
16.Le Sens de l'honneur (On My Honor)
17. Une paix difficile (The Cost of Peace)
18.Compte à rebours (Countdown)
19.Retour en arrière (Hello ... Again)
20.Le Mur (The Wall)
21.Déjà vu (My Brother's Keeper)
22. La Stratégie du désespoir (Desperate)
Hébergeur : Multiup.org
Qualité : tvRiP
Logo : Oui (ab1)
Fichier : mp4
Langue : Français
Taille : 488.3 MiB
L'Arme Qui Conquit L'Ouest (1955) VOStFR DVD - William Castle
Titre original : The Gun That Won the West
Réalisé par : William Castle
Produit par : Columbia Pictures
Genre : Western
Durée : 01:11:00
Année : 1955
Date de sortie en salle : 02/11/1956
Pays : États-Unis
Avec : Dennis Morgan, Paula Raymond, Richard Denning, Chris O'Brien.
Dans les années 1880, le Colonel Carrington et sa troupe son chargés de construire une série de forts dans le Wyoming.
Carrington recrute les éclaireurs Jim Bridger et Dakota Jack Gaines pour mener à bien le projet. Les deux éclaireurs sont amis avec le chef sioux Red Cloud et ils pensent qu'un traité de paix peut-être établi avec les indiens. Par contre, si la guerre venait à éclater les soldats bénéficieraient d'un nouveau type de fusil Spingfield.
Hébergeur : Uptobox
Fichier : zip
Qualité : En structure DVD
Langue : Anglais
Sous-Titres : Français
Taille : 3.62 GB
https://uptobox.com/8ktto7xap912
Une exclusivité signée : Jean-Michel
Paula Raymond
Tintin et les oranges bleues (1964) TrueFrench DVDRiP x264 AC3
Titre original : Tintin et les oranges bleues
Réalisateur(s) : Philippe Condroyer
Acteurs : Jean-Pierre Talbot, Jean Bouise,
Année de sortie : 1964
Genre : Aventure,
Pays : France,
Note : 4.67 (3 votes)
Plus d'information sur allocine : http://www.allocine.fr
Le professeur Tournesol vient de publier un livre sur la faim dans le monde et lance un appel aux savants du monde pour l'aider à la combattre. Son confrère espagnol, Anténor Zallaméa, lui expédie un paquet contenant une orange bleue, variété qui pourrait croître sur un sol désertique. Dans la nuit, l'orange est volée au château de Moulinsart. Le lendemain, Tournesol, Tintin et le capitaine Haddock partent à Valence en Espagne retrouver Zallaméa, mais le savant a été enlevé, et peu après Tournesol se fait kidnapper à son tour. Avec l'aide d'une bande d'enfants, Tintin et Haddock libèreront les deux savants, séquestrés par un émir voulant s'approprier la découverte.
Hébergeur : Uptobox
Langue : Français
Qualité : DVDRiP x264 AC3
Fichier : mkv
Taille : 1.37 GB
Tintin et le mystère de la Toison d'Or (1961) TrueFrench 1080p HDLight x264
Titre original : Tintin et le Mystère de La Toison d'or
Réalisateur(s) : Jean-Jacques Vierne
Acteurs : Jean-Pierre Talbot, Georges Wilson
Année de sortie : 1961
Genre : Aventure
Pays : France
Note : 4.5 (5 votes)
Plus d'information sur allocine : http://www.allocine.fr
Le capitaine Haddock reçoit une lettre annonçant la mort d'un vieil ami, Thémistocle Paparanic, qui lui laisse en héritage son navire : La Toison d'or. Alors qu'il va le voir à Istanbul avec Tintin et Milou, il découvre que La Toison d'or amarré à quai est un vieux cargo délabré et sans grande valeur. Anton Karabine, un mystérieux homme d'affaires, arrive sur le port en compagnie de plusieurs hommes et offre d'abord au capitaine 400 000 livres turques, puis 600 000 et plus tard 900 000 en insistant en échange du navire.
Hébergeur : Uptobox
Langue : Français
Qualité : HDLight x264
Fichier : mkv
Taille : 2.80 GB
Ce soir ou jamais (1961) French DVDRiP XViD AC3
https://www.cinema-francais.fr/
https://www.imdb.com/
Des jeunes gens montent un spectacle, mais au dernier moment il faut remplacer la vedette principale.
Cela provoque au sein du groupe des révélations d'ordre sentimental...
Qualité : DVDRiP
Format : avi
Langue : True French
Codec vidéo : XviD à 2 168kbps
Codec audio : AC3 à 192kbps
Taille totale : 1650 Mo
https://1fichier.com/?8k776spw7eo987ftdt2u
Anna Karina
Le Harem (1967) VO+StFR DVDRiP - Marco Ferreri
La petite perle cachée de Marco Ferreri!
Titre original : L'Harem
Réalisation : Marco Ferreri
Scénario : Rafael Azcona, Marco Ferreri, Ugo Moretti
Sociétés de production : Sancro International
Pays d’origine : Italie, France
Genre : Drame
Durée : 93 min
Sortie : 1967
Avec : Carroll Baker, Gastone Moschin, Renato Salvatori, Michel Le Royer, Ugo Tognazzi
Une femme réunit les trois hommes principaux de sa vie. Ils s'aperçoivent qu'en fait, elle veut se constituer un harem...
Critique (de Tintorera)
Marco Ferreri! Un auteur/réalisateur italien qui était fortement connu et reconnu dans les années 70, aussi bien des critiques que du grand public tant sa production, de même que son apparence, connaissaient un certain retentissement. Pourtant, et même inexplicablement, son souvenir semble s’être effacé, comme ignoré, du plus grand nombre tout comme les critiques de films. Cinéaste de films comme La grande bouffe, qui fut un immense scandale lors de sa sortie, ou encore de "Rêve de singe" ou "Touche pas à la femme blanche", le cinéma de Marco Ferreri, d’auteur, ne ressemble à aucun autre et c’est précisément avec un film rare, Harem, sublimé par l’interprétation de Carroll Baker, qu’Uncle Jack vous propose un voyage dans un univers particulier mais ô combien unique.
Margherita, interprétée par Carroll Baker, refuse d’épouser son fiancé Gianni et cela le jour même de leur mariage. Malgré les suppliques de Gianni, Margherita décline tous ses arguments et cela de manière sibylline, comme si elle avait précisément choisi de prendre un autre chemin que celui qui s’offre à elle, celui de la conformité qu’attend d’elle la société.
C’est alors que se dessine une autre voie avec le retour de ses anciens amants, dont Mike, René ou encore Gaetano qui aimeraient, eux-aussi, être avec la belle.
Justement, par un hasard de circonstances, Margherita les invite à la rejoindre dans une propriété près d’une cité balnéaire. Curieusement, tous ces hommes, aux positions sociales relativement élevées, ne s’affrontent pas pour obtenir l’exclusivité des charmes de Margherita, qui peut les choisir pour un nuit, un moment, à tour de rôle, comme bon lui semble. Ils vont même, dans un premier temps, jusqu’à accepter relativement, sur le ton du jeu, cette situation de harem inversé. Mais peut-on raisonnablement confiner autant d’hommes qui nourrissent, chacun, un désir d’exclusivité pour la même femme?
Cinéaste de la transgression, d’une étude féroce sur la place de l’homme au sein d’une société et de ses paradoxes, Marco Ferreri était définitivement un réalisateur à propos et à contenu. Il mettait souvent en exergue les limites ou les scories des individus face à une situation particulière, aux limites de leur humanité, pour en tirer des films qui ont souvent marqué leur époque, ou du moins les critiques et les spectateurs.
Et c’est précisément cette limite, celle de l’homme civilisé, rationnel, instruit et évolué, soumis à l’incertitude du choix d’une femme que Harem s’inscrit. Nos personnages masculins se mettent en quelque sorte au défi de se contenir pour obtenir les charmes, en réalité soumettre une femme, au désir perpétuel de fonder une famille envers une femme qui tarde à les choisir. Une famille? Oui. Car si le propos sexuel est bel et bien abordé dans Harem, le véritable but des personnages masculin demeure, de manière plus ou moins avoué, de perpétuer l’espèce grâce à une femme de leur choix, une femme qui, dans cette histoire, joue dans un premier temps de son pouvoir d’attraction afin de bouleverser le cœur et les sens de ses prétendants. Elle désire toutefois s’affranchir des carcans sociaux choisis pour elle et déterminés par la tradition, le poids de la société qui lui a tracé une voie balisée avec le mariage, l’enfant, l’obligation de l’élever…ce qui met bien sûr à mal notre quatuor de mâles jusque dans leur masculinité. Et quand ce stade est atteint, c’est alors que tout peut se produire et que notre histoire prend alors tout son sens…
Film d’auteur parfois difficile,Harem nécessite la participation active de son spectateur afin ce dernier puisse en saisir le sens et la portée. Nous ne sommes donc pas dans un produit codé, ou même un divertissement, où tout est lissé afin que l’audience ne décroche pas. Au contraire, Harem avait même pas mal décontenancé lors de sa sortie publique, qui se solda par un échec, malgré la qualité du film, tout comme ses décors, splendides, la musique d’Ennio Morricone, discrète mais envoûtante, ou encore, point fort de notre film, le jeu de ses acteurs dont sa vedette principale, l’actrice Carroll Baker!
Actrice venue de l’actors studio alors dirigé par Lee Strasberg, amie de James Dean avec lequel elle joua dansGéant, Carroll Baker connut une belle période avec des rôles variés dont, le plus fameux, celui deBaby Dollen 1955, lui permit de souffler le rôle à Marylin Monroe ou encore "La conquête de l’ouest" sous la direction de John Ford. Sous contrat avec la Paramount, alors en pleine redéfinition à cause du rachat par la Gulf Western, et malgré le succès de Harlow, le studio peine à lui trouver des rôles et ce fut en promotion du film lors de la Mostra de Venise que lui fut proposé une participation à Harem. Divorcée de son mari Jack Garfein qui prenait la place d’un agent trop autoritaire, Carroll Baker, en pleine reconstruction personnelle et professionnelle, tenta donc l’aventure italienne qui commença donc avec Harem, un échec cuisant, puis avec L’adorable corps de Deborah qui connut un succès qui sut mettre en avant son aura hollywoodienne. Ce film relança l’intérêt pour le giallo, ce qui permit d’en produire d’autres, dont ceux de Dario Argento, puis d’Umberto Lenzi. Le talent d’actrice de Carroll Baker est manifeste mais elle n’eut pas toujours l’occasion de le déployer pleinement. Ce fut donc dans Harem, ainsi qu’Orgasmo, d’Umberto Lenzi, qu’elle fut le mieux servie par des rôles exigeants ou qui permirent d’exprimer davantage de nuances, ou encore d’émotions fortes sinon pures. Une excellente actrice, pour laquelle il est enfin temps de saluer le véritable talent de comédienne.
Les autres acteurs d’Harem complètent fort bien ce casting exigent avec d’abord Gastone Moschin. Né en 1929, décédé en 2017, Gastone Moschin apparait dans presque 100 films ou séries avec, toujours, une incroyable présence à l’écran. S’il remplaça Fernandel lors de l’ultime Don Camillo, Gastone Moschin tourna également dans le cinéma d’auteur ou de divertissement, mais également dans des productions plus prestigieuses telles que leParrain 2.
Sa meilleure prestation fut peut-être celle de Milan calibre 9où il incarne, de manière magnétique et animale, le personnage d’Ugo Piazza, dans le silence, comme un fil tendu, et cela pendant tout le film. Une performance, fort belle, pour ce grand acteur populaire en Italie.
Ses autres condisciples sont William Berger, à la filmographie impressionnante, qui apporte également une réelle consiste au rôle de Mike, l’aventurier qui offre à Margherita une panthère, ou encore Michel Le Royer ou Renato Salvatori, jadis époux d’Annie Girardot, dont la composition, dans le rôle de l’avocat de Margherita, en fils soumis, demeure cocasse.
Œuvre rare, bénéficiant pour notre plus grand plaisir d’une belle restauration qui rend justice aux qualités plastiques de notre film,Harem invite donc le spectateur à un voyage intéressant qui met l’homme en face à ses limites anthropologiques. Un film d’un auteur à connaître, si ce n’est à découvrir, pour un cinéma de contenu tel que l’on n’en fait plus, hélas, aujourd’hui.
Hébergeur : Uptobox
Qualité : DVDRiP
Langue : Italien
Sous-Titres : Français
Fichier : mkv
Taille : 1.15 GB
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Une traduction exclusive signée : Uncle Jack
Carroll Baker