• La Disparition (1977) VOStFR BRRiP 720p x264 AC3 - Stuart Cooper

    La Disparition (1977) VOStFR BRRiP 720p x264 AC3 - Stuart Cooper

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     Titre original : The Disappearance
    Aussi original secondaire : Total Control
    Réalisateur : Stuart Cooper

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    Genres : Drame, Thriller
    Durée : 01:31:14
    Date de sortie : Drapeau du Royaume-Uni Décembre 1977, Drapeau de la France 10 mai 1981
    Pays d'origine : Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni, Drapeau du Canada Canada
    Avec : Donald Sutherland, Francine Racette, David Hemmings, John Hurt.

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    https://www.senscritique.com/

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    Image

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    A Montréal, un tueur à gages apprend que sa femme l'a quitté et une organisation le charge d'un contrat. Il finira par découvrir un lien entre sa cible et sa femme...

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    A Propos

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    Un thriller qui comporte pas mal d'ingrédients chers à ce genre de films. Mais la sauce a du mal à prendre avec pourtant un impressionnant casting. Malgré quelques scènes dures et tendues, une certaine mollesse s'installe. Le métrage aurait gagné à être plus resserré mais le suspense est au rendez-vous grâce aux acteurs et au scénario pas si mal troussé. A redécouvrir depuis sa sortie en VHS il y a bien longtemps.

     https://www.zupimages.net/up/22/32/mvz0.jpg

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    Hébergeur : Uptobox
    Qualité : BRRiP 720p x264 AC3
    Type : mkv
    Langue : Drapeau de la France Français, Drapeau des États-Unis Anglais
    Sous-titres : Drapeau de la France Français

    Taille : 1.09 GB

    https://img.streetprez.com/fr_FR/bleu_fonce/information_download.png

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    Ou

    https://uptobox.com/dyoxzerwfu1c

    Une traduction exclusive signée : Uncle Jack

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    Francine Racette


  • Commentaires

    1
    Samedi 13 Août 2022 à 23:01

    Après avoir exécuté un de ses contrats, Jay Mallory, un tueur à gages, revient chez lui à Montréal et découvre que son épouse, Célandine, a disparu. Bien que leur relation ait été chaotique, Mallory est convaincu que cette disparition est liée à son dernier contrat. Il est rapidement contacté par Burbank, son supérieur, qui lui confirme cette impression. Bientôt, Burbank lui-même disparait et Mallory se voit assigner un contrat à Londres, qui lui permettra de rembourser une dette...



    Dans la série des "disparitions" étonnantes de films, The Disappearance se situe en assez bonne place. On se souvient surtout de Stuart Cooper comme acteur, en Roscoe Lever dans "Les 12 salopards" de Robert Aldrich. Mais, après quelques rôles dans des films et téléfilms au milieu des années 60, Cooper passe derrière la caméra. Il réalise alors deux documentaires avant de tourner son premier film pour le grand écran, dans lequel jouent deux acteurs qu'on retrouve dans La Disparition, John Hurt et David Warner : "Little Malcolm". Bien accueilli, ce premier essai lui permet d'enchainer avec "Overlord", un drame illustrant la préparation des soldats britanniques pour le fameux D-Day de 1944. Le film ne fait pas grande recette, tourné avec des inconnus, il glane cependant quelques récompenses dans des festivals ainsi qu'un assez large succès d'estime. "Overlord" est un film très personnel où l'ex-acteur s'implique à l'écriture, si bien que sa côte monte et, très vite, l'acteur britanique David Hemmings (déjà producteur de Mort d'un prof en 1971) s'associe avec un certain Garth H. Drabinsky (qui produira ensuite L'argent de la banque, L'enfant du diable et L'Homme de Prague) et propose à Stuart Cooper ce projet qu'ils comptent produire.

    The Disappearance est adapté d'un roman noir ("Echoes of Celandine") d'un écrivain-scénariste qui porte parfaitement son nom pour le genre emprunté : Derek Marlowe. "Maldonne pour un espion", réalisé en 1968 par Anthony Mann, terminé par Laurence Harvey suite au décès du réalisateur, était déjà une adaptation du romancier, par lui-même. Pour "La Disparition", Marlowe ne récidive pas et le scénario est confié à Paul Mayersberg, qui vient de signer le scénario de "L'homme qui venait d'ailleurs" pour Nicolas Roeg (avec qui il retravaillera pour "Eureka" en 1983). Quant à sa production, elle permet de réunir facilement des acteurs de renom, aussi bien britanniques (John Hurt, David Warner, David Hemmings) que canadiens (Donald Sutherland, Christopher Plummer), chacun d'eux étant quoi qu'il en soit habitués à s'expatrier pour les besoins de tournages. Moins connue mais dans le rôle pourtant conséquent de l'épouse de Mallory, on retrouve Francine Racette, actrice d'origine canadienne elle aussi, déjà aperçue dans 4 mouches de velours gris et "Mr. Klein", que l'on reverra dans "Au revoir les enfants" en 1987. Sa présence parmi toutes ces noms n'est pas le fruit du hasard puisqu'elle est alors la petite amie de Sutherland à la ville. Une relation officialisée dans le film et qui le sera dans le réel, en 1990. Pour en finir rayon casting, on peut signaler la présence de Peter Bowles, déjà présent aux côtés de Hemmings dans "Blow-up" et que l'on reverra entre autres dans La maison des damnés.

    https://www.zupimages.net/up/22/32/rja8.jpg

    Bref, tout est là pour que The Disappearance soit à la fois une réussite artistique et un succès public. Pourtant, le résultat s'avère plus contrasté. En termes de film noir moderne ou revisité, The Disappearance se tient à peu près et les ingrédients sont bel et bien présents. Ambiance romantique sombre et garce (?) fatale pour un rendez-vous au carrefour de la mort. L'intrigue parvient à embrouiller son monde au gré des rencontres que fait Mallory/Sutherland, tout à la fois pour s'acquitter du contrat qui le lie mais aussi pour retrouver son épouse, si celle-ci est bien vivante. Seulement, La Disparition pâtit d'un rythme linéaire qui lui ôte toute part de tension, au profit d'effets arty, souvent de l'ordre du décalage temporel des scènes, qui semblent bien futiles au point même de choquer en début de bobine, avant que l'on finisse malgré nous par s'y habituer. Une acceptation en tant que spectateur qui tient à deux qualités maîtresses du film : un récit suffisamment intriguant et bien écrit pour tenir à lui seul en haleine, ainsi que des acteurs de grande qualité qui, même avec une seule et unique scène (Christopher Plummer par exemple), contribuent à maintenir l'intérêt de bout en bout, jusqu'à un final que l'on peut néanmoins anticiper.



    Au rayon sensuel, The Disappearance bénéficie d'une belle photographie signée John Alcott (quatre films pour Stanley Kubrick mais aussi La Grande cuisine, "Le monstre du train", Vice Squad, Dar l'invincible), mais pâtit d'un mauvais choix de composition musicale due à Robert Farnon (la série "Le Prisonnier", "Shalako", "Le secret de la banquise"...) et qui l'oriente systématiquement vers le drame romantique, même dans ses moments les plus tendus ou violents. En l'état, si La Disparition n'est pas déshonorant, il fait partie des néo-films noirs qui annoncent des œuvres à venir plus achevées telles que "La Fièvre au corps" de Lawrence Kasdan ; de même, il ne mérite pas l'oubli dans lequel il est tombé - après tout, l'on suit tout cela sans déplaisir -, toutefois, il reste un peu décevant, au regard notamment de son invraisemblable casting.

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