Le tombeau est le port où nous arrivons tous après une navigation plus ou moins orageuse.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Un très grand merci à tous ceux qui participent au partage, qui traduisent, synchronisent, montent des films et tout ça gratuitement et en y mettant tout leur cœur et toute leur passion en nous permettant de découvrir ou redécouvrir des films dans la meilleure qualité possible.
Avec toute la bande des "cinéphiles" partageux, sous-titreurs, etc., c'est comme
un petit miracle précieux qui se perpétue ainsi. Jean-Louis, Stéphane et son père, Uncle Jack, Cinéphil35 et merci à Léon Noël pour toutes ses recherches et partages provenant de l'Ina, Un merci à tous les autres traducteurs qui prennent un repos bien mérité, à Marcel toujours là pour pour une ré-up ou un enregistrement, le plus ancien et à Bernard le petit dernier et à tous les autres, présents, passés et futurs qui font, ont fait vivre, et feront vivre le cinéma, la culture pour tous à n'importe quel moment du jour ou de la nuit. Merci à toutes et à tous pour tous vos cadeaux.
index, abder et moi sommes très fiers de partager avec les meilleurs sur la toile, merci pour leur confiance à partager leurs trésors chez nous, chez eux.
L'Admin (Chems)
1.) Il est souhaitable d'adopter un pseudo en minuscules, un avatar et de passer par la shoutbox au moins une fois.
2.) Les demandes de liens (Uniquement pour les inscrits) se font sur le t'chat ... et s'adressent à tous. Les liens morts sont à signaler dans les comm's du post.
3.) Écrivez la date et l'heure au début des messages, ce n'est pas automatique ... Merci de respecter.
4.) Evitez les changements d'IP svp.
5.) Dans la shoutbox et les comm's : Interdit aux Urls, e-mails et N° de téléphone, ainsi que toutes formes de rabattages vers d'autres sites ou forums.
Ce Blog respecte strictement la loi, les films postés sont la propriétés de ceux qui partagent ici, ils les échangent. Les traductions sont faites maison par les participants, et les versions qui en découlent sont inédites.
@Madame Djamila Bouhired, longue vie à toi ...
Les poseuses de bombes :
De gauche à droite : Samia Lakhdari, Zohra Drif, Djamila Bouhired et Hassiba Ben Bouali.
@Tous : Cette shoutbox est celle réservée à admin et modos. Celle d'en bas où nous n'intervenons plus (tous les pseudos Chems7773 /Chems ou proches à ce pseudo/, peuvent ne pas être les nôtres et ne seront que des usurpations, ne nous engagent pas) est réservée à vous tous ... passez nous saluer, faites vos demandes, etc ... Nous la modérerons le plus de temps possible, car on a une vie privée comme vous tous, ne répondez jamais aux insultes.
-------------------------------
* Béatrice devant le désir (1944) - Jean de Marguenat
Visiteurs depuis le 22/11/2018 : 2491568
Connectés : 6
Record de connectés : 305
Visiteurs aujourd'hui : 249
Pages vues aujourd'hui : 609
Nombre d'inscris : 11679
L | M | M | J | V | S | D |
---|
Légendes du Cinéma
https://1fichier.com/?egl6be4osb45n5erirl7
Rita HAYWORTH
https://1fichier.com/?4x21npudgo9ojsylmbhx
FERNANDEL
https://uptobox.com/p5h0k2kt993g
Sophia LOREN
https://uptobox.com/u145lumpymci
Anthony QUINN
https://uptobox.com/avvhbdt8eerl
Claudia CARDINALE
https://uptobox.com/y17ggr9y331o
Romy SCHNEIDER
https://uptobox.com/f3kxlme72qw7
Meryl STREEP
https://uptobox.com/cpamg1gz7udk
Elvis PRESLEY
https://uptobox.com/nqqq1s0itn2a
RAIMU
https://uptobox.com/ola0fs92dduc
Marlène Dietrich
Ava Gardner
Raquel Welch
Elizabeth Taylor
Marilyn Monroe
Anita Ekberg
Heidi Lamarr
Lana Turner
Spécial Claudia Cardinale ce mois-çi
Irene Papas et Anthony Quinn
Hommage à Gina Lollobrigida
-----
Divin, idyllique, phénoménal, ... je n'ai jamais écouté une voix pareille (6 octaves), habitée par la grâce, la plus belle de tous les temps :
Dimash
1. Quand Toto se la joue provoc' avec le système éducatif
C’est l’histoire de la maîtresse qui dit à ses élèves « Que celui qui se sent bête se lève » (un peu spé les cours de cette maîtresse, apparemment elle s’est faite virer après). Du coup, Toto se lève. La maîtresse lui demande « Tu te trouves bête Toto ? ». Ni une, ni deux, Toto lui répond « Non madame, mais ça me faisait de la peine de vous voir toute seule debout »…
2. Quand Toto humilie son père publiquement
– Papa, regarde l’avion. – Oui, j’ai vu Toto. – Papa, regarde la voiture. – Oui, j’ai vu Toto. – Papa, regarde la dame avec son chien. – Oui j’ai vu Toto. – Papa, regarde la… – Oui j’ai vu ! – Bah pourquoi t’as marché dedans ?
3. Petite vanne sur la conjugaison
C’est l’histoire de la maîtresse qui demande à Toto : « Récite-moi le verbe marcher au présent. » Toto répond « Je…marche…tu…tu…marches… », mais la maîtresse le presse, allez, plus vite Toto ! Ce à quoi il répond « Euh…je court euh…tu cours il court… »
4. Spéciale cace-dédi aux mamies
C’est la maîtresse qui demande à Toto « Cite-moi un mammifère qui n’a pas de dents »… « Ma grand-mère ? ».
5. Petite vanne climatique
C’est la maîtresse de Toto qui lui demande : « Toto, quand je dis « il pleuvait », de quel temps il s’agit ? », et là Toto il répond « D’un sale temps madame ! ».
6. Petite vanne géographique
C’est l’histoire de Toto va voir sa maman en chialant comme une grosse merde « – Maman, Maman… je me suis fait mal ! – Où ça ? – Là-bas ! »
7. Pour la communauté des bébés
C’est l’histoire de la mère de Toto qui lui dit « Tu veux bien m’aider à changer ton petit frère ? », et Toto il répond « Pourquoi, il est déjà usé ? ».
8. Gros délire sur la piste de ski
C’est l’histoire de Toto qui fait de la luge avec sa frangine. Leur mère lui demande « Dis-moi Toto chéri, penses-tu à prêter ta luge à ta sœur ? ». Toto lui répond « Oui maman, moi je l’ai pour descendre et elle l’a pour monter ». Hahaha quel gros bâtard cet enfoiré de Toto.
9. Spéciale cace-déci à tous les puzzlelocos
C’est l’histoire de Toto qui annonce très fièrement à qui de droit : « J’ai battu tous les records ! J’ai terminé ce puzzle en une heure, alors que sur la boîte il a marqué de 2 à 4 ans ». Hahaha mais qu’il est con ce gros bouffon de Toto.
10. Quand Toto se fait une crise de boulimie
C’est l’histoire du père de Toto qui lui demande : « – Dis-moi Toto, il y avait deux parts de gâteaux dans le frigo… Peux-tu m’expliquer pourquoi il n’en reste plus qu’une ? – J’avais pas vu qu’il y en avait une autre ! ». M
11. Quand Toto a trop d'animaux domestiques
C’est l’histoire de la maman de Toto qui lui demande : « – Toto ! Le perroquet a disparu ! Tu n’as rien remarqué d’anormal en mon absence ? – A part le chat qui s’est mit à parler ? Non je vois pas ». Naaaaaaaaaaaaaaaaaan le prank ! c’est le chat qui a mangé de zozio ça veut dire mdrrrr ^^
12. Quand Toto fait des embrouilles
C’est l’histoire de Toto qui rentre de l’école et qui dit à son daron le cœur empli de joie et de fierté « J’ai eu un 20 ! ». Son père, ému aux larmes s’empresse de lui demander en quelle matière il a pu si bien excellé. Ce à quoi son fils, sa bataille lui répond « 3 en Histoire, 8 en Français, 9 en Math ».
13. Petite vanne mathématique
C’est l’histoire de la maîtresse qui demande à Toto de lui citer dix animaux africains. Et Toto il répond « La girafe, l’éléphant et… 8 lions ! ». Ça pour sûr, il l’a bien eue.
14. Quand Toto se fait victimiser par l'école
C’est l’histoire de Toto qui rentre à la maison après sa première journée à l’école. Sa maman lui dit « – Alors Toto, tu as appris beaucoup de choses aujourd’hui ? – Pas assez en tout cas, ils veulent que j’y retourne demain. »
15. Celle-là, elle est un peu violente. A ne pas laisser entre toutes les mains, comme on dit !
C’est l’histoire de la mère de Toto qui lui dit : « Si le général te demande, tu dis que tu t’appelles Toto et que tu as 13 ans » (l’Histoire ne nous raconte pas de quel général on parle, il est en effet possible de transposer avec le général de votre choix). Toto part ensuit en guerre (parce qu’à 13 ans, on va en guerre) et naturellement le mystérieux général lui demande de se présenter.
– Comment t’appelle-tu ? Toto. – Quel âge as tu ? 13 ans. – A quoi sert une mitraillette? A mitrailler. – A quoi sert un parachute? A chuter. – A quoi sert un tank? A t’enculer.
Citation du jour :
"Être grand-père ne m'ennuie pas du tout . Ce qui m'ennuie, c'est d'être marié à une grand-mère . " Groucho Marx
Pour rêver en toute sérénité...
Le tombeau est le port où nous arrivons tous après une navigation plus ou moins orageuse.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Il faut courber le bâton quand il est vert, et le fer quand il est rouge.
Proverbe oriental ; L'Orient en proverbes (1905)
L'offense la plus fâcheuse est celle qui provient d'un ami.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
La souplesse et la complaisance ont plus fait de fortune que l'esprit et le mérite.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Celui qui tend des pièges à l'innocence est le plus pervers de tous les hommes.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Ceux qui proclament la victoire ne sont pas toujours ceux qui y ont le plus contribué.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Le désespoir n'appartient qu'aux âmes débiles.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
La trop grande crédulité est aussi nuisible que l'extrême défiance.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Mille fois heureux celui que la philosophie met à l'abri des tourments de ce monde.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Prépare-toi au malheur avant qu'il arrive, il sera moins cuisant.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Ne te laisse pas séduire par l'éclat du monde, c'est un monstre dangereux qui, quoique recouvert d'une belle peau, n'en est pas moins redoutable.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Trop d'huile dans la lampe submerge la mèche.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
On n'a rien sans peine, il faut plonger dans les abîmes de la mer pour avoir des perles.
Proverbe oriental ; L'Orient en proverbes (1905)
Plus l'ignorant est élevé, et plus son ignorance paraît : c'est une grue dans un troupeau d'oisons.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Le tambour avec tout son bruit n'est rempli que de rien.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Il y a des roses qui ont cent feuilles, il n'y en a point qui durent cent jours.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Que ta conscience soit ta seule divinité.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Il faut avoir les mains nettes pour aller à la recherche des vérités, n'en trouve pas qui veut.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
La nature ou le grand tout, n'est que la somme infinie d'infiniment petits.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Etudie l'homme, et non pas les hommes.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
La véritable philosophie est la théorie de la vertu.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Donnez la forme d'un berceau à la sépulture de l'enfant mort dans le premier âge.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Que chacun soit enseveli dans le champ de ses pères.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Une mère sage ne confiera la garde de sa fille à personne.
Proverbe oriental ; Les apologues et contes orientaux (1784)
Sois dans ta maison comme la loi dans une ville.
Proverbe oriental ; Les proverbes et sentences orientales (1762)
Ava Gardner
Les 2 plus grandes danseuses du Cinéma Arabe et Égyptien.
Samia Gamal et Tahia Carioca
Samia Gamal
Tahia Carioca
La Disparition (1977) VOStFR BRRiP 720p x264 AC3 - Stuart Cooper
Titre original : The Disappearance
Aussi original secondaire : Total Control
Réalisateur : Stuart Cooper
Genres : Drame, Thriller
Durée : 01:31:14
Date de sortie : Décembre 1977, 10 mai 1981
Pays d'origine : Royaume-Uni, Canada
Avec : Donald Sutherland, Francine Racette, David Hemmings, John Hurt.
A Montréal, un tueur à gages apprend que sa femme l'a quitté et une organisation le charge d'un contrat. Il finira par découvrir un lien entre sa cible et sa femme...
A Propos
Un thriller qui comporte pas mal d'ingrédients chers à ce genre de films. Mais la sauce a du mal à prendre avec pourtant un impressionnant casting. Malgré quelques scènes dures et tendues, une certaine mollesse s'installe. Le métrage aurait gagné à être plus resserré mais le suspense est au rendez-vous grâce aux acteurs et au scénario pas si mal troussé. A redécouvrir depuis sa sortie en VHS il y a bien longtemps.
Hébergeur : Uptobox
Qualité : BRRiP 720p x264 AC3
Type : mkv
Langue : Français, Anglais
Sous-titres : Français
Taille : 1.09 GB
https://multiup.org/ae3ea7acb8d2885ce31b5685ff68228c
Ou
https://uptobox.com/dyoxzerwfu1c
Une traduction exclusive signée : Uncle Jack
Francine Racette
Après avoir exécuté un de ses contrats, Jay Mallory, un tueur à gages, revient chez lui à Montréal et découvre que son épouse, Célandine, a disparu. Bien que leur relation ait été chaotique, Mallory est convaincu que cette disparition est liée à son dernier contrat. Il est rapidement contacté par Burbank, son supérieur, qui lui confirme cette impression. Bientôt, Burbank lui-même disparait et Mallory se voit assigner un contrat à Londres, qui lui permettra de rembourser une dette...
Dans la série des "disparitions" étonnantes de films, The Disappearance se situe en assez bonne place. On se souvient surtout de Stuart Cooper comme acteur, en Roscoe Lever dans "Les 12 salopards" de Robert Aldrich. Mais, après quelques rôles dans des films et téléfilms au milieu des années 60, Cooper passe derrière la caméra. Il réalise alors deux documentaires avant de tourner son premier film pour le grand écran, dans lequel jouent deux acteurs qu'on retrouve dans La Disparition, John Hurt et David Warner : "Little Malcolm". Bien accueilli, ce premier essai lui permet d'enchainer avec "Overlord", un drame illustrant la préparation des soldats britanniques pour le fameux D-Day de 1944. Le film ne fait pas grande recette, tourné avec des inconnus, il glane cependant quelques récompenses dans des festivals ainsi qu'un assez large succès d'estime. "Overlord" est un film très personnel où l'ex-acteur s'implique à l'écriture, si bien que sa côte monte et, très vite, l'acteur britanique David Hemmings (déjà producteur de Mort d'un prof en 1971) s'associe avec un certain Garth H. Drabinsky (qui produira ensuite L'argent de la banque, L'enfant du diable et L'Homme de Prague) et propose à Stuart Cooper ce projet qu'ils comptent produire.
The Disappearance est adapté d'un roman noir ("Echoes of Celandine") d'un écrivain-scénariste qui porte parfaitement son nom pour le genre emprunté : Derek Marlowe. "Maldonne pour un espion", réalisé en 1968 par Anthony Mann, terminé par Laurence Harvey suite au décès du réalisateur, était déjà une adaptation du romancier, par lui-même. Pour "La Disparition", Marlowe ne récidive pas et le scénario est confié à Paul Mayersberg, qui vient de signer le scénario de "L'homme qui venait d'ailleurs" pour Nicolas Roeg (avec qui il retravaillera pour "Eureka" en 1983). Quant à sa production, elle permet de réunir facilement des acteurs de renom, aussi bien britanniques (John Hurt, David Warner, David Hemmings) que canadiens (Donald Sutherland, Christopher Plummer), chacun d'eux étant quoi qu'il en soit habitués à s'expatrier pour les besoins de tournages. Moins connue mais dans le rôle pourtant conséquent de l'épouse de Mallory, on retrouve Francine Racette, actrice d'origine canadienne elle aussi, déjà aperçue dans 4 mouches de velours gris et "Mr. Klein", que l'on reverra dans "Au revoir les enfants" en 1987. Sa présence parmi toutes ces noms n'est pas le fruit du hasard puisqu'elle est alors la petite amie de Sutherland à la ville. Une relation officialisée dans le film et qui le sera dans le réel, en 1990. Pour en finir rayon casting, on peut signaler la présence de Peter Bowles, déjà présent aux côtés de Hemmings dans "Blow-up" et que l'on reverra entre autres dans La maison des damnés.
Bref, tout est là pour que The Disappearance soit à la fois une réussite artistique et un succès public. Pourtant, le résultat s'avère plus contrasté. En termes de film noir moderne ou revisité, The Disappearance se tient à peu près et les ingrédients sont bel et bien présents. Ambiance romantique sombre et garce (?) fatale pour un rendez-vous au carrefour de la mort. L'intrigue parvient à embrouiller son monde au gré des rencontres que fait Mallory/Sutherland, tout à la fois pour s'acquitter du contrat qui le lie mais aussi pour retrouver son épouse, si celle-ci est bien vivante. Seulement, La Disparition pâtit d'un rythme linéaire qui lui ôte toute part de tension, au profit d'effets arty, souvent de l'ordre du décalage temporel des scènes, qui semblent bien futiles au point même de choquer en début de bobine, avant que l'on finisse malgré nous par s'y habituer. Une acceptation en tant que spectateur qui tient à deux qualités maîtresses du film : un récit suffisamment intriguant et bien écrit pour tenir à lui seul en haleine, ainsi que des acteurs de grande qualité qui, même avec une seule et unique scène (Christopher Plummer par exemple), contribuent à maintenir l'intérêt de bout en bout, jusqu'à un final que l'on peut néanmoins anticiper.
Au rayon sensuel, The Disappearance bénéficie d'une belle photographie signée John Alcott (quatre films pour Stanley Kubrick mais aussi La Grande cuisine, "Le monstre du train", Vice Squad, Dar l'invincible), mais pâtit d'un mauvais choix de composition musicale due à Robert Farnon (la série "Le Prisonnier", "Shalako", "Le secret de la banquise"...) et qui l'oriente systématiquement vers le drame romantique, même dans ses moments les plus tendus ou violents. En l'état, si La Disparition n'est pas déshonorant, il fait partie des néo-films noirs qui annoncent des œuvres à venir plus achevées telles que "La Fièvre au corps" de Lawrence Kasdan ; de même, il ne mérite pas l'oubli dans lequel il est tombé - après tout, l'on suit tout cela sans déplaisir -, toutefois, il reste un peu décevant, au regard notamment de son invraisemblable casting.